Trop occupés à étudier le meilleur point d’ancrage de leur stylet entre les omoplates de leurs coéquipiers, les joueurs de gauche ne l’ont pas vue passer la ligne blanche. Elle allait vite, Edvige, une trombe, un ouragan, balayant tout sur son passage comme son homonyme cyclone de l’océan indien de l’an 1996.
Zigzaguant entre les arbitres et juges de touche, médusant les médias, maillotant leurs bla-bla, il s’en est fallu de peu qu’elle marque un point définitif contre le camp des démocrates et défenseurs des libertés individuelles. | suite © Alain Foix |