L'effet papillon.

Plus réaction en chaîne qu'autre chose.
Et d'abord pourquoi je suis là devant mon clavier à écrire puisque je suis aussi au cinéma ? Allez comprendre.
Et puis, elle est tronquée, cette vidéo. Est-ce une pub, un morceau de film ? Aucune idée. 
Je ne vais pas vous raconter, à vous, qu'elle va vous faire de l'effet, vous qui en avez tant vu. 
Bon, c'est du déterminisme spectaculaire. Un fait en entraîne un autre.
Exemple : je ne suis pas actuellement au cinéma, mais devant mon ordi. "I'm a geeeeeek !" comme dirait Radiohead. Et aussi, mon blog va tout seul : à preuve, il y a plus de visites quand je n'y touche pas que quand je rajoute des billets. Effet chenille, me direz-vous.
Bon, sur ce, je vais quand même retourner au cinéma.

Le dernier film de Spike Lee (Miracle à Santa Anna), à propos de la brigade de soldats noirs (Buffalo soldiers) américains en Italie fasciste est un petit bijou, salué par les festivaliers. Quand on voit des prisonniers nazis mieux traités en Louisiane que des soldats américains de couleur, on a tout dit de ce film. 2h40 de bonheur cinématographique. Et de ciné, à l'ancienne, mais d'une inouïe modernité de ton...