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Le Web 2.0 est passé sans faire grand bruit, ni désordre. La révolution tant attendue a été presqu'inaperçue, comme une brise caressant une joue. Le nouveau n'a pas écrasé l'ancien, il ne s'y est presque point substitué. Nonobstant un constat : le 2.0 a aidé des médias, selon de rares satisfaits surtout de la presse alternative comme POPULISCOOP. Il a fait gagné du terrain en ouvrant, à la blogosphère et autres organes d'info pourvu qu'ils se donnent la peine d'inscrire leurs données et leurs flux « rss » auprès des diffuseurs, quelques fenêtres qui allouent une présence continuellement croissante sur la toile.
On attend le WEB 3.0, mais là, on s'arrête net ! Stop, à ce point ! Puisqu'on on croit n'avoir rien compris du prédécesseur. Qu'a-t-il fait pour s'attendre à mieux des descendances ? Mais rapidité, stabilité et convivialité sont dans le continuel pari d'aller encore plus loin... Quelque soi le récent, il a ses fanas, disent-ils le Web 3.0 ...
Google Chrom Animé rap
Dans ce climat universel prosaïquement et solidement lié au virtuel, Google passe droit-devant à l'offensive ! Après quelques jours de la déclaration de la mise sur le marché de son téléphone le G-Phone pour la fin 2008, le gadget de téléphonie grandement versé à satisfaire l'internaute. Le moteur de recherche californien a surpris les internautes du monde entier, du moins en France car la journée de rencontre avec la presse a été avancée pour mardi 3 septembre, en rendant public la mise au point de son navigateur le « Google Chrome ». Découvrez-le en consultant cette BD, œuvre de Scoot MacCloud. La B.D. est le plus simple moyen de vulgarisation qui convient aux grands et dont raffolent les petits, les démos –ci-jointes quelques unes- apportent aussi des explications.
Google Chrome que nous découvrons, est certainement basé sur la satisfaction des nouveaux comportements et besoins de tous les acteurs du Web des quatre coins du globe. De l'infographe anonyme à la gigantesque boîte, versés à une bousculade effrénée vers les portes d'Internet pour une place au paradis ont de nouvelles exigences qu'il faut exaucer. Et comment, un tel géant s'en passerait de l'instrument fondamental du surf, un navigateur –explication sur Wikipédia- ? Après avoir déjà lancé presque tous les outils nécessaires pour les différents usages du large public.
1- Pour télécharger Google Chrome.
2- Pour télécharger la suite bureautique.
3- Le tableur de Google.
4- La gamme Google de produits en Open source.
La concurrence entre Firefox de Mozilla, Safari d'Apple et un certain Opéra qu'il faut, tous, télécharger et IE (Internet Explorer) livré dans le système d'exploitation d'ordinateur le plus répandu « Windows » de Microsoft, va désormais admettre ce rival qui fera certainement tâche d'huile dans le challenge.
Démonstration
Google beta video
Pour les néophytes, une confusion forte commune régnait pleinement quand ils ouvrent leurs sessions. Entre placer l'adresse directement à la barre du browser du navigateur, le cadre situé en haut de l'écran lors de la connexion, le navigateur, qui affiche systématiquement l'adresse Web demandée une fois bien inscrite. Ou bien passer par celui du moteur qui répond en reprenant, en les exposant par ordre de pertinence, tous les documents répertoriés ou décryptés selon le mot clé de la requête qui est comme l'objet d'un courrier par lequel on comprend le reste.
Google, bien établi, a déjà un monopole indiscutable en matière de recherche avec son propulseur. Le second utilise le premier, comme un réseau routier pour véhicule à vitesse grand V, pour circuler ou aller recueillir les réponses. Avec le « Chrome » les deux browsers sont associés en une seule barre, de quoi parader sans susceptibilités pour l'un ou l'autre : navigateur et moteur de recherche au même menu. Il crée l'omnibox : fusion de la barre d'adresse et du champ recherche.
Les webmasters sont actuellement devant un nouvel indexeur après s'être longtemps demandé par quelle manière se fait la sélection pour que « X » apparaisse en premier avant « Y » lors d'une requête sur le moteur Google et avec le même mot. Beaucoup de ces concepteurs croient déjà que les sites les mieux optimisés s'arrogent un référencement en mesure de leurs assurer des visites. Avec Google Chrome, il faut s'attendre que la sélection soit, à partir d'un même mot, encore plus rigoureuse de manière à relever davantage les sites plus perfectionnés à travers une compatibilité des éléments de leurs contenus et la synergie entre les pages qui les composent. Déjà qu'il présente une excellence dans la typologie, dès qu'on introduit il propose non pas la généralité brute mais le site qui a eu de l'attrait sur la technologie utilisé, allez savoir ?
La fameuse norme SEO, avait déjà ses lettres de noblesses en matière de référencement naturel... Apparemment, la première bêta de Chrome ne tournerait que sous Windows, les versions Mac et Linux étant cependant bien au programme. En Open Source (gratuit) il a l'engouement préliminaire qu'il mérite, celui de GOOGLE !
En matière de sécurité, il reste d'après certains constats préliminaires, il a ses failles. Et la stabilité qu'il a avancée est loin d'être acquise. Voir cet article sur CNET France dont les sources, citées, sont des plus crédibles. Mais c'est aussi un jeune arrivé, il a droit à bien des bugs.