parure de flocons allègres
sous la membrane translucide
d’une épiphanie empourprée
rêves en sarabandes d’existences
dans les clairières du frémir
saturées d’aubades indigentes
bouquets d’esquisses parfumées
déposés au hasard d’un rayon de lune
sur la pulpe chatoyante
les résistances fondent sous le plomb
or d’haleine poétique
de badauds admiratifs