Plusieurs soldats interrogés après la fusillade de Carcassonne, qui avait fait 17 blessés lors d’une journée portes ouvertes dans une caserne le 29 juin, ont reconnu de “graves dysfonctionnements” dans le contrôle des munitions et l’organisation de la démonstration, selon France Info.La radio a indiqué mercredi avoir eu accès aux procès-verbaux des auditions, par les gendarmes, des militaires du 3e Régiment de parachutistes d’infanterie de marine (RPIMa) de Carcassonne, dont le sergent qui avait tiré dans la foule par erreur à balles réelles au lieu de balles à blanc.
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