Me revoilà (en mode numérique) de retour de contrées où les glaces et les vapeurs sulfureuses des volcans animent une terre hostile, où l'influence de l’Homme sur le milieu est bien plus faible que par chez nous. Je viens bien sûr parler de l’Islande, dont j’ai fait le tour pendant deux semaines avec ma chère et tendre (désolé chères lectrices… mais d’autres rédacteurs sont toujours célibataires). Je n'insisterai pas trop avec vous sur la beauté des paysages (il y a d’autres plateformes plus adaptées pour ca) mais quelques éléments qui ont éveillé ma curiosité.
En fait, ce billet ne sert presque à rien sauf peut-être à introduire les trois suivants.