Antonio nous invite à surveiller le catalogue de petites maisons d’édition prometteuses, notamment L’Arbre Vengeur dont Robert Amutio dirige la collection « Forêt invisible ». Notre libraire, surnommé par ses proches le Nostradamus alsacien, est aussi un féru d’astrologie ; il le prouve en nous concoctant le thème astral d’Arturo Belano, le double de Roberto Bolaño. Libraire, astrologue, mais aussi éditeur puisque Antonio lance la revue Cyclocosmia.
Bartleby promeut également Cycloscosmia. Il nous livre aussi une critique du premier livre traduit d’Antonio Ungar : Les oreilles du loup. L’auteur, par l’intermédiaire de Robert Amutio, a eu la gentillesse de s’expliquer à propos de l’emploi des termes tigre et jaguar dans son texte.
Belane, qui se remet peu à peu, a repris ses chroniques musicales pour nous parler avec passion de The Golden Animals.
Claro part en vacances, mais avant cela, il nous a offert un joli feu d’artifices : il continue à nous raconter les voyages de Marion Laine dont le film Un cœur simple continue à rafler des prix, le dernier au festival du film français d’Ohrid en Macédoine, comme chacun sait. Il pique à JDM une photo orwellienne, se demande si les aventures d’Ingrid pourraient être un bon sujet de roman, reproduit les paroles de Tant de nuits extraites du dernier album de Bashung (génial cet album ! Oui, Fausto, je sais…) et après une bibliographie exhaustive de son œuvre, Claro nous fait profiter de deux nouveaux extraits de Contre-jour de Thomas Pynchon : ici et là.
Fausto s’interroge sur la légitimité de l’édition intégrale du Livre de l’intranquillité de Pessoa et, après une pause musicale, il nous fait l’apologie de ses deux dernières découvertes, Chalut de B.S. Johnson et surtout Zeroville de Steve Erickson.
Garp, poursuivi parle Fisc, déménage et promeut lui aussi Cyclocosmia.
JDM nous raconte le concert de Radiohead auquel il a assisté, tandis que La Buse nous annonce son retour qu’il espère aussi palpitant que celui des Dents de la mer.
Lazare nous invite a visionner des vidéos délirantes et nous fait découvrir les superbes dessins d’Alex Dodge. Il produit encore un texte dont il a le secret sur la possibilité d’une nouvelle littérature et, en manque de mescal, s’exaspère à propos de tant de chefs-d’œuvre pas encore traduits (mais que fait Claro ?).
L’Ombre sort de son silence pour faire la promotion d’une revue dont je vous laisse deviner le nom et Moolz nous envoie un télégramme de l’enfer pour nous assurer qu’il n’est pas encore mort, ce dont je doute très fortement.
Pedro fait simplement le point sur ses lectures : Matt Ruff, Kafka et Bradbury (cherchez l’erreur).
Thomz nous offre un peu de musique (The Bishops) et surtout une savoureuse petite fiction. Untel enfin, à cause de la mauvaise influence de Lazare, se demande quel alcool boire avant de gloser à propos des Suicides exemplaires de Vila-Matas.
C'est tout pour le moment... Mais restez en ligne, je vous promets quelques petites surprises pour bientôt...