Apprivoiser les inconstances pour s’apaiser aux silences, cruelles inconsciences, de ce qui touche, au plus profond d’un chagrin qui s’englue d’un temps au rabais, d’un pourcentage en plus, d’une promotion de fin de saison, se piétiner les envies aux humeurs capricieuses de quelques larmes, versatiles. S’égratigner le quotidien banal d’histoires à paillettes, de fantasmes en morceaux, rafistolés à coup de fantaisies, puériles, hors d’âge, au fond d’une cave à soupirs, frustrés d’avoir été trop rêvés, spoliés d’une réalité, simplement imaginée, qui ne dure que le temps de l’envisager, sur un fil qui se tisse, fragile. Les mots hurlent, tempérance, des pensées ainsi couchées, d’analyses, de profils acérés d’avoir été étudiés, à vif, sur des vides qui n’en finissent plus de rien,…