Chaque nouvelle grande œuvre et Don’t Believe The Truth en était une ne sert qu’à mettre la barre un peu plus haut, en termes d’attente du public. Dans le cas d’Oasis, qui nous a habitués à un cycle constitué de trois ans d’intervalle entre les publications de chaque nouveau disque, ce sentiment est renforcé par le fait que chaque nouvel album a tendance à être accueilli comme un come-back. Toute appréhension au sujet de la qualité de Dig Out Your Soul se désintègre au bout de quinze secondes d’écoute du premier titre, Bag It Up, qui possède toutes les qualités typiques du genre unique de rock’n’roll doigts-dans-la-prise du groupe. Il y a une vivacité âpre, arrogante et exubérante dans beaucoup de ces morceaux, notamment The Shock Of The Lightning, une de ces chansons qui a le don de vous faire vous arrêter net – à la première, deuxième ou cinquantième écoute – quoi que vous fassiez. Le groupe sonne comme s’il s’amusait vraiment et son exubérance est contagieuse.
Chaque nouvelle grande œuvre et Don’t Believe The Truth en était une ne sert qu’à mettre la barre un peu plus haut, en termes d’attente du public. Dans le cas d’Oasis, qui nous a habitués à un cycle constitué de trois ans d’intervalle entre les publications de chaque nouveau disque, ce sentiment est renforcé par le fait que chaque nouvel album a tendance à être accueilli comme un come-back. Toute appréhension au sujet de la qualité de Dig Out Your Soul se désintègre au bout de quinze secondes d’écoute du premier titre, Bag It Up, qui possède toutes les qualités typiques du genre unique de rock’n’roll doigts-dans-la-prise du groupe. Il y a une vivacité âpre, arrogante et exubérante dans beaucoup de ces morceaux, notamment The Shock Of The Lightning, une de ces chansons qui a le don de vous faire vous arrêter net – à la première, deuxième ou cinquantième écoute – quoi que vous fassiez. Le groupe sonne comme s’il s’amusait vraiment et son exubérance est contagieuse.