Un chroniqueur du Jerusalem Post, Caroline Glick, dresse un tableau très sombre des relations israélo-turques. La Turquie n’est pas un partenaire fiable - sans être un ennemi, ni même pour l’instant un adversaire, le camp choisit par ce pays n’est pas celui de l’Occident (Glick est un représentant d’une école, populaire en Israël, qui conçoit la menace en terme de religion. L’islamisme, le fondamentalisme musulman constitué comme politique avec pour objectif l’établissement d’un ordre islamique global, est désigné comme ennemi.)
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