La chance sourit à Baptiste Bordave, mécontent de sa vie, quand Olaf Sildur, un Suédois qu'il ne connaît ni d'Eve ni d'Adam, vient mourir chez lui ! Car, sur-le-champ, laissant le cadavre raidir dans son salon, Bordave "devient" Sildur et fonce occuper les lieux qu'il habitait.
Qu'est-ce qui vous a inspiré ce roman ?
« Dans la presse, les avis de décès sont toujours formulés de la même manière : “L’individu est mort quand on le conduisait aux urgences.”
J’ai réfléchi à ce que cet énoncé pouvait cacher. Le reste relève d’un fantasme courant dans l’espèce humaine : “Ah ! si je pouvais être ce monsieur qui passe...”
Dont acte. »