Dans l'Oignon, je découvre en première page ce billet :
Je ne vois pas pourquoi on s’acharne à présenter Raymond Domenech comme Raymond la Science. Rien dans sa stratégie n’indique que la science joue un quelconque rôle. A moins que le but, si j’ose dire, soit de perdre à tout coup. Dans ce cas-là, c’est réussi.
Comme je ne m'intéresse que de très loin aux exploits du ballon rond, j'ignorais ce surnom, mais je savais en revanche que l'on surnomme ainsi Raymond Soubie - le conseiller social de notre splendide président -, que cela avait été déjà le cas de Raymond Queneau - directeur de l'encyclopédie de la Pléiade -, et je pense de bien des Raymond avant Goethals (prononcez goût-tals…