Le dioxygène (O2) n'est pas moins abondant en altitude. Cependant, la pression atmosphérique est plus faible. Ainsi, la moindre différence entre la pression partielle en dioxygène de l'air et la pression partielle en dioxgène du sang rend les échanges gazeux plus difficiles. Autrement dit, le dioxygène est bien présent mais il pénètre moins facilement dans l'organisme...
Mais l'organisme s'adapte: la fréquence respiratoire augmente. Par ailleurs, en quelques jours, le nombre d'hématies (globules rouges), qui lient et véhiculent l'O2 dans le sang, est sensiblement accru.