Magazine Journal intime
Je fume doucement dans la noirceur
Temporairement à l'abri de tout
La beauté du monde est parfois obscurcie par les nuées
Le souvenir est plus vivant que la pierre des murs
Et moins froid que le fer des rambardes
Et pourtant il n'est rien de plus mort
Que la mémoire élimée
Du sourire flétri© Éric McComber