Julia essaye sans grande conviction une robe de mariée dénichée par son ami Stanley. A quelques jours de son mariage avec le jeune Adam (type même du gentil un peu chiant sans aucun potentiel), la jeune femme ne s’est pas encore souciée de cette formalité et semble s’en contrefiche. En outre, elle est incapable de se rappeler si elle a invité son père… Quand le secrétaire particulier de ce dernier lui téléphone, c’est pour annoncer la mort et l’enterrement d’Anthony Walsh, ce père si absent, le jour du mariage. La fête est reportée.
Plus tard, Julia découvre cependant que son père a fait en sorte de lui laisser un souvenir afin que, malgré cette mort, elle le connaisse mieux et, qui sait, lui pardonne ses absences. Avec humour, Levy traite des relations familiales, de l’amour et de l’amitié. Un roman dans la veine de ses premiers écrits qui donne envie de croire au premier amour mais qui laisse deviner ses rebondissements. Bref, toujours pas folle de cet auteur. L’année prochaine, peut-être ?!