
L'endroit de réserveprend l'eauet derrière les lumières artificiellesqui se reflètent et se comprennent entre ellesseulement pour une paroletoujours la même à noyer le poissonchez les autres."Faute de grives on mange des merles"c'était ou, ça aurait pu être le nomd'une officine à plantes vertes et compagniecomme il en pousse partouten fonction des flatulences administratives et moralesou l'inverse, suivant les courants de l'Histoire du pays d'ici.Tu n'ingurgiteras point;tu ne fumeras point;tu ne digéras point...de substances prohibéesmais pour la peine après réflexions en cascades et interrogations en cataractes,tu pourras utiliser ce qui a le goût et l'odeur mais pas ce qui fait son intérêt premier;manière subtile, astucieuse, perverse, byzantine, ingénieuse, hypocrite...de gratter ses axiomes sous les bras.avec du faux trafiqué comme l'indique régulièrement les études sur le sujet.Et c'est ainsi que la valse du chimique "bon" pour la santé des gensfait que ça bricole tout là-haut dans les éprouvettes,afin de doser à la juste mesure légale les taux approuvés et bénis (oui- oui)On aurait pu dire, si on avait pu ou voulu ou écouté certainssurtout hélas! (a part quelques courageux) souvent des anciens connaisseurs de l'inénarrable dossier -hors droit de réserve-bien entendu...anciens policiers, anciens magistrats, anciens politiques, soignants, économistes, éducateurs...nous expliquant que l'argent public englouti, que les morts de la prohibition et ses dommages collatéraux...étaient le résultat de politiques n'ayant jamais fait leurs preuvesvoir si on en croit les statistiques du nombre de consommateurs...aggravé "le problème" L'Etat pourrait gérer économiquement et efficacement l'affaire. Remember la SEITA..et ainsi faire rentrer quelques substantiels brouzoufs dans des caisses si vite trouées,contrôler la qualité du produit (et si c'était bio?),et ainsi supprimer une bonne partie d'un marché gangrenant peu à peu tous les "territoires"(comme ils disent) et permettre ainsi aux forces publiques de réorienter leur savoir fairevers d'autres produits hautement plus inflammables.Seulement entre Dieu et Alcool son Dieu, notre chère mère patrie a sa morale qui tangue (légalement bien entendu).ils en causentet re-causent
"Les livres restent, en définitive, avec le feu, la seule façon de combattre les ténèbres." Mathias EnardLes murs de la base sous chuchotent:
photos Jeremy Blahay

Promenade des bretons

"Pour parler d'une ville, il ne suffit pas d'en être impressionné, de l'aimer ou de la haïr. Il faut bien la connaître, ne faire qu'un avec elle, puis l'oublier un certain temps, la laisser vivre en nous à notre insu jusqu'à ce qu'elle s'intègre totalement à notre imaginaire." Nedim Gürsel




Raymond Devos"Quand j'ai tort, j'ai mes raisons, que je ne donne pas. Ce serait reconnaître mes torts !" "On en lit des choses sur les murs !...
Récemment, j'ai lu sur un mur :
"Le Portugal aux Portugais !"
Le Portugal aux Portugais !
C'est comme si l'on mettait :
"La Suisse aux Suisses !"
Ou : "La France aux Français !"
Ce ne serait plus la France !
Le racisme, on vous fait une tête comme ça avec le racisme !
Ecoutez...
J'ai un ami qui est xénophobe.
Il ne peut pas supporter les étrangers !
Il déteste les étrangers !
Il déteste à tel point les étrangers
que lorsqu'il va dans leur pays,
il ne peut pas se supporter !""Quand le joueur eut tout perdu, il gagna la porte." Raymond Devos
