mation d’alcool, je distingue l’usage simple de l’usage nocif - et la dépendance :
- Usage simple : consommation n’entraînant pas
de complications pour la santé, ni de troubles du
comportement ayant des conséquences nocives pour soi
ou autrui. C’est un verre par repas, - Usage nocif (ou « abus ») : consommation répétée
entraînant des dommages physiques ou psychologiques
pour la personne ou son entourage. On parle d’usage
nocif lorsqu’on peut par exemple constater : l’incapacité à
se passer d’alcool pendant plusieurs jours ; des difficultés pour
effectuer des obligations de la vie quotidienne ;l’aggravation
de problèmes personnels ou familiaux… Il est plus que temps de
voir un psychothérapeute formé à l’alcoologie, - Dépendance : la personne ne peut plus se passer
de boire sous peine de souffrances physiques
et/ou psychiques.
Le glissement de l’usage simple à l’usage nocif peut se faire de manière invisible. La personne se trouve alors dans une phase intermédiaire, l’usage à risque.
Au cours de cette phase, il n’y a pas encore de dommages apparents, mais une intervention précoce est souhaitable.
Ces questions peuvent être abordées avec un professionnel de santé, qui est là pour en parler avec vous si vous le souhaitez. Ce sera l’occasion de faire le point ensemble sur votre consommation d’alcool et d’envisager avec moi des solutions pour la diminuer.
Et, vous, Cher Lecteur, où en êtes vous, honnêtement, dans votre consommation ?