
Cent cinquante ans après la publication de celui-ci, Charles Mendeleïev alors en plein confinement annonça sur les réseaux avoir apprivoisé son cent-dix-huitième chien sauvage.
Le lendemain, perclus de honte, il réalisa qu’il s’était trompé et qu’il n’avait apprivoisé que cent deux chiens. Déshonoré, il s’ouvrit les entrailles avec un sabre : Charles Mendeleïev avait du sang japonais et non russe.