Promesse d'un président agresseur aux États-Unis. Presque promesse d'un Premier Minus Canadien tout aussi agresseur, chez nous. Promesse de payer une fortune simplement pour manger.
Fuck you all est ce que j'avais envie de dire. Pas Bonne Année.
Il y a des choses auxquelles je n'étais pas prêt à faire face dans la vie adulte. Être parent ? Personne n'est prêt avant de l'être, tout ceux et celles qui vous disent le contraire vous bullshittent. Donc non, je ne pouvais pas être prêt. Mais humblement, c'est ma plus grande réussite.
Et que le Canada imiterait ses idiots du Sud et dur à accepter.
Pierre Poilièvre n'est pas un agresseur vous entends-je hurler ?
Quand on présente les faits et la vérité face à ses non sens, beaucoup plus fréquents que son "gros bon sens", il ne relève absolument pas la remarque. Il continue de parler comme si ce moment ne s'était pas passé. Donald Trump est identique. Il a inventé toute sortes de choses depuis 10 ans, et chaque fois qu'on a démonté ses niaiseries, il s'est mollement défendu. Quand il l'a fait. Car plus souvent, il ne relevait pas la vérité qui démontait son errance mentale et verbale.
Et bien souvent fort égoïste.
Ce sont alors les journalistes qui le soulignent. Et les journalistes n'ont plus toujours la cote de la crédibilité depuis qu'ils avaient prévu une victoire écrasante d'Hillary Clinton face à l'olibrius Trump.
Poilièvre est un absolu agresseur verbal. Personnellement, son simple timbre de voix m'agresse au plus haut point. Mais je dois l'avouer, j'ai le même problème ET avec Justin Trudeau ET avec François Legault, je peine de plus en plus à les entendre parler. Mais ma tolérance se porte quand même très bien.
Sinon j'aurais toutes les raison de ne plus croire en rien. La table est mise depuis longtemps.
Voir Pierre Poilièvre rencontrer Jordan Peterson le week-end dernier en entrevue, un des pires masculinistes qui puissent exister, et l'entendre le féliciter de ne pas plier l'échine devant ses adversaires qui sont principalement les féministes et leurs alliés n'est qu'un petit avant-goût très amer du recul incroyable que nous nous apprêtons à vivre en 2025.
Et 2025, promet d'être guidée par des agresseurs.
Ça donne un drôle de ton pas tentant pour l'année qui se développe.