Je me suis rendue compte, lors des dernières opérations « Masse critique » jeunesse de Babélio, que je cochais tous les numéros de la revue Dada et que j’étais vraiment déçue quand ça ne fonctionnait pas. J’ai donc profité d’une promotion vraiment intéressante en fin d’année pour m’abonner à cette revue que j’affectionne. Logique non ? Vous allez voir en conséquence régulièrement ces couvertures ici. Il y a quelques jours, j’ai reçu ce premier numéro de mon abonnement, qui sort en librairie le 10 janvier. Car Dada est une revue que l’on peut se procurer, soit par abonnement, soit par numéro dans leur boutique, soit en librairie. Elle est destinée principalement aux enfants mais peut intéresser toute la famille. Je la trouve personnellement très riche… Dans ce numéro, il est question de Pop art. On pense forcément immédiatement à Andy Warhol, mais vous connaissez en réalité par exemple tous les tableaux aux allures de cases de BD de Roy Lichtenstein, sans forcément avoir entendu le nom de l’artiste. L’aventure pop art commence en Angleterre dans les années 50 avec l' »Indépendant Group » qui souhaite bousculer le monde de l’art de l’époque… J’ai encore appris beaucoup avec cette rétrospective, une fois de plus très enrichissante. J’ai découvert des artistes dont j’ignorais l’existence. Parler ainsi d’un mouvement permet aussi de mettre en perspective des œuvres que l’on connaît parfois de vue sans les rattacher forcément à une époque. J’aime le sens que cela donne. Le Pop art a le mérite de sublimer le quotidien, de lui donner de la couleur, de l’importance. Encore un chouette numéro, donc, qui se rattache cette fois à l’exposition « Pop forever, Tom Wesselmann &… » qui a lieu en ce moment à la fondation Louis Vuitton à Paris.

