Romans : Le Bilan de 2024

Je tiens d’ailleurs à remercier tous les blogueurs et tous les lecteurs Babelio qui m’ont permis de découvrir toutes ces pépites.

Si je devais résumer cette année de lecture en 6 points, ce seraient les suivants :

Deux auteurs de polars ont changé leur fusil d’épaule en 2024 afin de plonger leurs lecteurs dans des zones de conflit. Avec son diptyque « Et chaque fois, mourir un peu », Karine Giebel nous emmène au cœur de missions humanitaires aux quatre coins de la planète, tandis qu’Olivier Norek nous fait découvrir la Guerre d’Hiver avec « Les Guerriers de l’Hiver », un épisode méconnu de l’Histoire qui opposa la Finlande à l’URSS en 1939. Deux immenses coups de cœur !
Gaël Faye avait placé la barre très haut avec son premier roman « Petit Pays ». Huit ans après, « Jacaranda » démontre qu’il est capable de franchir cette barre quand il le désire !
Chaque fois que Marie Vareille publie un roman, il se retrouve dans mon Top de l’année et je vous incite chaque fois très gentiment à le lire. Cette année, je vais faire comme elle et franchir encore un palier : Vous devez lire « La dernière allumette » !
Au rayon des incontournables du roman noir on retrouve inévitablement l’inégalable R.J. Ellory en tête d’affiche avec « Au nord de la frontière », dernier petit bijou en date passé par les mains expertes de son traducteur attitré, Fabrice Pointeau, malheureusement décédé le 6 mars 2023. Mais il est talonné de près par le chouchou de la « Summer Reading List » de Barack Obama, S.A. Cosby, qui livre une nouvelle pépite après « Les routes oubliées » et «
Pour les amateurs de « Feel Good », ne passez pas à côté de « Reminders of Him » de Colleen Hoover et de « Tenir Debout » de Mélissa Da Costa, voire même de « Check & Mate » d’Ali Hazelwood ou de « The Holly Dates » de Brittainy C. Cherry dans le rayon « Young adult ».
Au rayon des merveilleuses découvertes, n’oubliez pas de jeter un œil à « La vie qui reste » de Roberta Recchia, dont je ne parviens toujours pas à croire qu’il s’agit d’un premier roman, et de « La Petite Bonne » de Bérénice Pichat, qui m’a totalement séduit, tant sur la forme que sur le fond !