En début d’année, je suis allé au Zénith de Strasbourg pour découvrir le ballet-féérie « Casse-Noisette ». C’était une belle découverte ! Cependant, à la fin de mon billet, j’exprimais le désir de le voir dans de meilleures conditions (Sans une mamie qui bouffe du pop-corn…). Je crois que le Père-Noël a entendu mon souhait.
Après la soucoupe orange et lumineuse, j’ai eu l’honneur et le privilège de me rendre dans un endroit magique et méconnu de ma personne : l’Opéra national du Rhin. Le hasard fait parfois bien les choses et il faut parfois savoir saisir sa chance quand elle se présente. J’ai vu « Casse-Noisette » dans un magnifique écrin et je vous avoue que mes pieds ne touchent pas encore le sol depuis. Je vous laisse admirer la bande-annonce :
La musique est naturellement de Piotr Ilitch Tchaïkovski et les chorégraphies sont de Rubén Julliard. L’histoire se passe chez les Drosselmayer, et oui, dans cette adaptation, il y a une Madame Drosselmayer, interprétée, entre autres, par Julia Weiss, une danseuse née en Alsace. Clara va vivre de belles aventures avec Casse-Noisette et la Princesse Pirlipat, mais elle devra d’abord affronter les rats et leur roi ! Je n’en dis pas plus, je vous laisse découvrir le résumé sur le site de l’ONR.
Magique, incroyable, merveilleux, je ne sais comment décrire ce ballet-féérie. L’endroit, les décors, la mise en scène, l’espace scénique, les danseurs et danseuses, la chorégraphie, tout était réuni pour passer un moment… magique, incroyable, merveilleux et féérique.