Mais la question suivante s'est posée: quid de leur statut et de leur obligations par rapport au principe de laïcité du service public d'éducation?
La question a été posée au ministre via le Sénat, à plusieurs reprises.
Fin des vacances obligent, les réponses commencent à être publiées.
Fin mai, le sénateur Bernard Piras posait: "Il apparaît légitime que ces personnes respectent un devoir de réserve et une stricte neutralité. "
Pour le sénateur Yvan Renar, qui s'interrogeait au mois de juin, "les principes de laïcité et de stricte neutralité doivent être respectés par toute personne participant à l'encadrement d'activités scolaires dans le service public".