Marionnette Ne Comprenant Pas La Main Qui La Tiens

Publié le 29 novembre 2024 par Hunterjones
Yuri Alexandrovich Bezmenov, ancien agent du KGB, ayant passé à l'Ouest, nous avait prévenu.

Le grand lavage de cerveau Russe avait 4 étapes à suivre. Le premier étant "la grande démoralisation" qui était anticipée sur une vingtaine d'année.   

En 1954, tôt dans la Guerre Froide entre occident et Union Soviétique, ces derniers ont créé le Comité pour la Sécurité de l'État, sous l'appellation Russe KGB. Le groupe s'occupe alors de la sécurité intérieure, de la police secrète, et des opérations d'espionnage domestique et international. À travers le monde entier, le KGB fait tout son possible afin de contrer les idées pro-occidentales et tout indice anti-soviétique. On hésiterait aucunement à supprimer les leaders politiques étrangers avec du cyanure ou autrement et on investirait et armerait des groupes de gauche, particulièrement dans les nations sous développées, si on flairait de l'antagonisme soviétique. Le KGB a de plus implanté des taupes un peu partout dans les ressources d'intelligence aux États-Unis, avec succès, si souvent qu'un nombre précis de fois reste dans le secret de l'humilité du FBI ou de la CIA, et on ne saura jamais pleinement combien de fois et pendant combien de temps, on s'est rendu compte qu'on se faisait espionner de l'intérieur ou d'ailleurs. 

Les plans à l'égard des États-Unis, plus puissant nation au monde, n'ont jamais été clair, mais un indice est cet ancien agent du KGB, Yuri Alexandrovich Bezmenov, qui fuyait l'URSS en 1970, pour arriver au Canada, et clamait connaitre bien des détails de ce que préparaient les Russes contre les États-Unis. Les attaques seraient moins physiques que mentales. Le champ de bataille étant la psychée des citoyens Étatsuniens. 

Ce qu'il allait révéler, on le goûte de nos jours. 

Le plan est à long terme et les Russes comptent battre les États-Unis dans une guerre psychologique et une "démolarisation" qu'on ne peut pas nier habiter depuis 2018, premier passage de l'olibirus Trump. Et depuis le 5 novembre dernier. Le travail de décennies portent aujourd'hui fruit. Vladmimir Putin était de ces services secrets. Beznemov disait aussi alors que faire parti du KGB ne voulait pas nécessairement dire être espion. 85% du travail est un lent travail de subversion idéologique. De mesures actives et de batailles psychologiques aussi bavardes et bruyantes que silencieuses. Ce qui importe d'abord est le désordre au sein d'une population qui se pense unie. Et vite, les Soviétiques ont vu que les États-Unis n'avaient que le nom d'"Uni". Qu'il ne fallait maintenant qu'appuyer plus fort sur la subversion idéologique. Comme réussir à faire croire à des tonnes de gens qu'envahir l'Ukraine, c'est parce que c'est l'Ukraine qui est vile, et non le contraire. Créer un déluge de faussetés jusqu'au point qu'on arrive plus à discerner le vrai du faux, et quel meilleur émissaire que Fake News Don au pouvoir pour ce faire, aux États-Unis. L'abondance d'infos désordonnées ferait conclure au citoyen très moyen, que se défendre, défendre sa famille, défendre sa communauté, sa gang, son pays, devient un objectif pressant, alors que rien ne devrait inquiéter le plus grande puissance au monde. 

C'est ce qu'ils appellent le "grand lavage de cerveau" dont la première étape serait la démoralisation () qui devrait prendre entre 15 et 20 ans à se faire, probablement un peu plus. C'est une approximation minimum. Mais c'est le minimum pour une génération de jeunes têtes brûlées dans les écoles pour se ré-éduquer en parallèle des repères connus comme les enseignants et les médias de toute sorte. Et si on peux s'implanter chez Fox dans les médias, la bactérie du déséquilibre peut commencer à manger la chaire du peuple. 

Les hippies des années 60 (implantés par l'URSS)qui obtenaient des positions de pouvoir dans les années 80 étaient eux-mêmes déjà contaminé(e)s par des valeurs Marxistes-Léninistes. Que ce soit au gouvernement ou dans les entreprises des États-Unis. Comme Pavlov le montrait avec les chiens, les Étatsunien(ne)s sont entrainé(e)s sans s'en rendre compte à être programmé(e)s pour réagir de manière stupéfiante. Comme on peut le voir chez les partisans de Trump ou de Pierre Poilièvre, au Canada. Exposez leur des faits qui contredisent tout ce qu'ils disent, ils ne dérogeront pas de leurs positions. Même si on prouve que noir est noir et blanc est blanc, il vous diront qu'ils voient orange. Être exposé(e)s à la vérité ne doit plus avoir d'importance. Et c'est pas mal réussi.La démoralisation est un processus qu'on veut garder irréversible. La société des États-Unis, le Canada, sont devenus ce que voulaient les Soviétiques: des tribus polarisées rejetant certains faits pour se choisir des narrations personnelles ou des opinions. 

La seconde étape serait la déstabilisation. Où on viserait la chute de l'économie (presque promise), les relations étrangères affaiblies (ça se fait présentement tout seul avant même que le crétin ne commence), et la défense rammolie. (promis aussi avec un agresseur animateur de télé du week-end à ce poste névralgique). On y serait donc déjà aussi. L'anormal devenu acceptable. 

La troisième étape serait la crise. Qu'on pense capable de créer en un mois et demi. Un violent changement de pouvoir, de structure, et une plongée dans l'économie qui doit être suivi tout de suite par la dernière étape qui serait la normalisation d'un nouveau pays (great again) doté d'une nouvelle idéologie (Projet 2025), dans une réalité qu'il ne saisit pas pleinement (censure en édcuation). Une marionnette qui ne comprend pas la main qui la tiens.

Si une nation n'arrive pas à comprendre les dangers qui lui foncent dessus, tout est pas mal déjà gagné selon Yuri Bezmenov. 

Nous

Sommes.

Cet agent du KGB révelait tout ça il y a 40 ans.

Il allait ensuite mourir après avoir révélé tout ça, à seulement 53 ans, d'une violente attaque cardiaque. 

Lui qui n'avait ni antécédents, ni problèmes de coeur.

Ever.

Bravo à ces agents du chaos. On sera bientôt, K.O.