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Je n’ai rien à dire à propos d’Anne NivatCompétente, elle a chèrement gagné sa place dans un milieu qui ne fait pas de cadeau aux femmes ambitieusesPour autantJe me demande, si ce temps passé devant un miroir, celui passé à courir sur un tapis, celui consacré au shopping chez Vuitton — si je m’en réfère à mes hésitations à Auchan devant un Comté 6 ou 8 mois d’affinage ou une tradition pas trop cuite alors que j’ai du repassage en retard — à quel niveau d‘attachement à la séduction sur une échelle qui va du désespoir à la panique de ne plus affoler les hommes avec d’autres atouts que son intelligence, elle se situe?Ce sillon inter mammaire mis en valeur par ce jaune serin de ce soir, le buste 95 C gainé de cuir d’hier, cette nuque délicate jaillissant d’un chemisier rouge rebelle jeudi, m’ont fait perdre le fil de ses analyses sur le match Kiev-MoscouObjectif: dés la galette son d’avoine du matin/verre d’eau/salade à midi : mort au patriarcat mais rester désirable. Je me souviens d’une apparition un soir au vingt heures. Claire Coudray à la place de Claire Chazal. J’eu un idée assez précise du concept de la séduction assise. Femme tronc, joker de la titulaire elle est apparue, époustouflante dans un bustier en cuir raisonnablement décolleté, sobre et sexy. De ce jour nous fûmes sans nouvelles de Claire Chazal. Un monde sans pitié pour nos compagnes — même si Moi Personnellement Je ne danse pas sur les mêmes parquetsJe croirais au féminisme quand le dernier Epil story sera fermé. Nous, les zhommes on se laisse mochir, stoïques. On regarde ému cette femme qui clignote comme une ambulance en état d’urgence