Je sens que ça va finir mal !
Je pars ce matin de Frontignan sur la Gaxuxa amochée et j'ai à peine roulé un kilomètre que j'arrive à un barrage. Il y a course. Un agent me donne ordre d'attendre que les coureurs cyclistes soient passés, ce que je m'empresse de faire. Puis, il me crie d'y aller. J'obtempère. Comme j'atteins l'autre côté, j'entends un freinage violent accompqgné de jurons. Je me retourne, un coureur s'est esquinté. Je passe les détails, mais disons que je suis maintenant menacé de pousuites. Eh, eh, eh...
J'ai hâte de voir ce que demain me réserve !© Éric McComber