Un portemanteau dont les patères sont des cintres, un support mural recouvert de moquette sur lequel on encastre une table et quatre coussins… Il y a quelques mois, la mise en ligne sur son site internet de ses objets délires lui a permis très vite de se faire connaître au delà des frontières de l’hexagone : « Au départ, le site était destiné à des amis et à ma famille – d’où le côté humoristique - et maintenant je suis invité dans des expositions en Angleterre et en Italie alors qu’aucun produit du catalogue n’est édité pour le moment… » Après une année passée à Londres, John Nouanesing se prépare donc à créer dans les Landes son entreprise de mobilier. Parmi ses premières créations, la table « Paint or die but love me » (photo), une table qui dégouline de peinture rouge. John Nouanesing se définit comme « quelqu’un de sa génération qui n’est pas très difficile et qui aime à peu près tout. J’imagine que chacun se reconnaît un peu dans ce portrait … »