C'est Noël qui approche, et là, vous vous demandez quoi offrir à cet ami (ou à vous-même, soyons honnêtes) qui rêve de hacker le système... pas le système informatique, mais bien celui de notre société ! Eh bien, arrêtez tout : j'ai trouvé LE cadeau parfait, le Sabotage Memory. Ce jeu est une petite pépite pour ceux qui veulent allier amusement, apprentissage et une bonne dose de rébellion douce. Vous êtes prêts à devenir des apprentis saboteurs ? Let's go !
Le principe : Un memory... mais version " hacktiviste " !
On connaît tous le memory classique, ce jeu où il faut retrouver deux cartes identiques. Mais, soyons honnêtes, ça devient vite répétitif. Heureusement, Sabotage Memory casse les codes (littéralement) ! Ici, le but n'est pas de faire des paires d'images similaires, mais de trouver l'outil parfait pour saboter une situation. Vous avez bien lu. Par exemple, vous devrez trouver l'objet parfait pour court-circuiter une machine, ralentir un système, ou, dans l'esprit de Noël, peut-être simplement foutre en l'air les néons trop gourmands du centre commercial. En gros, c'est un anti-memory : on ne cherche pas à " faire correspondre ", mais à trouver LA solution créative pour mettre des bâtons dans les roues.
Apprendre en s'amusant : oui, oui, ça marche
Mais ce n'est pas tout. Sabotage Memory n'est pas qu'un jeu rigolo pour les rebelles en herbe, c'est aussi une véritable leçon d'histoire contemporaine. Car à chaque fois que vous réussissez à former une paire (bon outil, bonne situation), un QR code apparaît comme par magie. Et là, surprise : ce QR code vous envoie vers une carte numérique qui explique l'histoire du sabotage en question ! C'est un peu comme si chaque victoire vous donnait accès à une classe express sur les techniques de sabotage qui ont marqué les mouvements pour la justice sociale et environnementale.
Imaginez un peu : vous jouez tranquillement et, entre deux rires, vous apprenez comment des activistes ont utilisé des astuces aussi ingénieuses que créatives pour résister à l'oppression. Un petit plus qui transforme le jeu en véritable encyclopédie vivante du sabotage. Qui a dit qu'on ne pouvait pas apprendre en jouant ?
Un jeu pour les hackers... mais pas que
Sabotage Memory, c'est avant tout un jeu ludique, mais c'est aussi un moyen subtil de faire réfléchir sur les systèmes et les pouvoirs en place. Les hackers de tous horizons vont adorer, mais le jeu ne s'arrête pas là. C'est aussi un excellent cadeau pour ceux qui veulent éveiller leur conscience sociale, ou pour les passionnés d'histoire alternative. Vous avez un ami qui se plaint toujours de l'injustice sociale, ou une cousine hyper engagée pour la planète ? Bingo, vous avez trouvé le cadeau parfait.
Et si vous n'êtes pas encore convaincu, dites-vous qu'à l'ère du numérique, rien ne fait plus rebelle que de jouer avec des cartes, loin des écrans. Une manière astucieuse de hacker notre dépendance à la technologie !
Laissez parler le saboteur qui sommeille en vous !
Ce jeu, c'est une porte d'entrée vers un monde où la justice sociale et environnementale prennent le dessus. On y apprend que parfois, une petite action bien pensée peut avoir un grand impact. Un clin d'œil à tous ceux qui pensent que le changement se fait aussi avec un tournevis bien placé ou une bonne idée révolutionnaire.
Offrir Sabotage Memory à Noël, c'est un peu comme glisser un peu de rébellion dans le pied du sapin. Alors, prêt à mettre les mains dans le cambouis... ou à faire une paire d'outils de sabotage ? Un petit conseil : n'essayez pas de saboter les fêtes de famille, mais si jamais vous vous ennuyez après le repas de Noël, vous saurez quoi faire avec ce jeu entre les mains !
Où trouver ce jeu ?
Envie d'offrir ce jeu à un petit hacker en devenir ? Pas de souci, il est dispo sur le site du Hacker collectif : Sabotage Memory. Alors, c'est parti pour un Noël où on apprend, on joue, et on sabote, le tout avec le sourire !
Angry Mum, maman active, maman geek et toujours à l'écoute d'Internet... Elle adore les vacances mais pas toujours les vacances scolaires ! Blogueuse depuis 2013. S'abonner à Angry Mum sur Google News