Une dernière volonté plie comme un instinct primaire soulagé, recouverte par l’écoulement inexorable du sable. A livre ouvert, l’amour n’a ni genre ni solitude pour infuser chaque éclat de silence. Ses gerbes d’impressions parfumées épanouissent encore les corolles défroissées par l’accumulation des meurtrissures salutaires, esquissant des mondes parallèles luxuriants aux frictions fictives. La charnière charnelle rompt alors, dissolue, cosmopolyfolie somptueuse d’aberration essentielle, voile de nuit constellée du sang vermillon du manteau énigmatique. Le statique brouille les émissions qui s’échouent dans les impasses indigo et s’agglutinent enfin au ballet pyrotechnique du solo légendaire.