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La vie sur * mars * ...?, pouirquoi pas !

Publié le 30 août 2008 par Osmose

La vie aurait elle existé ailleurs dans notre système solaire ? Pourquoi pas

Ce qui est drôle est que pour la littérature et pour le cinéma d’anticipation de la fin du 19 ème siècle jusqu’à aujourd’hui, aucun doute n’est permis, nous sommes au moins sûrs que nous ne somme pas seuls !


Notre imagination étant très fertile, d’innombrables et très vastes complots interplanétaires se trameraient même au-dessus de nos têtes et notre liberté serait bientôt comptée !


De quelle planète viendraient tous ces envahisseurs ? De Mars, bien sur !

Pourquoi Mars ? Une certaine logique voudrait dire qu’après le Lune, c’est la planète la plus accessible pour l’homme. Par ailleurs, si on cherche un peu dans nos mémoires, ses dimensions, ses caractéristiques géophysiques ont longtemps fait croire qu’elle a été la jumelle de la Terre.


Au-delà des représentations et des mythes qu’elle véhicule, Mars ne nous a jamais semblé aussi proche. Notre autosuggestion fonction plein pôt !


Après avoir conquis le Lune, il y a bientôt 40 ans, l’Homme est aujourd’hui aux portes de Mars.


Concernant la Lune, juste faire petit retour dans l’histoire pour nous remettre dans le contexte : La fameuse fusée Saturn « V » qui transportait le module lunaire Eagle de la mission Apollo XI se pose sur la Lune avec son équipage de trois hommes qui avait été lancée le 16 juillet 196 à 17h00 – Heure locale - de la base de Cap Kennedy (aujourd'hui devenu Cap Canaveral, même ce Cap là a changé d’identité), en Floride.


Après sa mise en orbite terrestre à 190 km de la Terre, le module lunaire s’est dirigé vers la Lune à la vitesse moyenne de 39.030 km/h (pas de radar Sarkozien..Dommage !) Après un petit voyage sans problème, l’engin s’est pose en douceur quatre jours plus tard. A ce moment là, très précisément à 3h56, (21h17 > heure française), dans la nuit du 20 au 21 juillet 1969, le très célèbre Neil Armstrong annonça « Houston, ici la base de la Tranquillité. L'Aigle a atterri», il posa ensuite son pied (gauche) sur la Lune

Plus d’un milliard d'être humains ont suivi l'exploit en temps réel ou presque sur leurs écrans de télévision > quel souvenir ! Surtout cette petite phrase vouée à l'Histoire lancés par Neil Armstrong, 38 ans à l’époque ; je cite «Un petit pas pour l'homme, un grand pas pour l'humanité».


Revenons à nos moutons,


Les sondes et les robots envoyés semblent bien nous indiquer que l’eau a coulé en grande quantité à la surface de Mars et que la probabilité que la vie y ait pu se développer est assez forte. Mais, au fait, la vie est-elle vraiment apparue ?
The big question. Existe-t-il encore aujourd’hui des « niches écologiques » où la vie aurait pu subsister ?
Sous quelles formes ?
Celle d’un petit « homme vert » ou d’une bactérie fossilisée ? Chacun raconte n’importe quoi mais y a-t-il une vérité ?


En remontant dans l’histoire, il est écrit qu’une croyance en une vie sur Mars est née très tôt dans l’histoire de l’Humanité. Dès l’Antiquité, la « doctrine de la pluralité des mondes » fédère une grande partie des savants et des philosophes grecs et latins (Pythagore, Lucrèce) autour de l’idée que d’autres mondes habités existent dans l’Univers. Sans observation scientifique et seulement par conviction philosophique, la vie ailleurs que sur Terre et en particulier sur Mars est déjà considérée comme plausible !


C’est l’observation détaillée de Mars à la fin du 19ème siècle, par certains grands astronomes de l’époque, qui va révéler pour la première fois dans l’Histoire l’existence d’une prétendue «civilisation martienne» techniquement plus avancée que la nôtre… prudence, prudence !


Ce n’est que longtemps après, notamment en 1877, sous couvert de nombreuses observations scientifiques, que l’italien Giovanni Schiaparelli (14 mars 1835 - 4 juillet 1910- était un astronome italien, prétendait que Mars possède des mers, des terres émergées, mais également des « canaux », rapidement assimilés par son confrère américain Percival Lowell (13mars 1855 à Boston - 13 novembre 1916 à Flagstaff, était un astronome amateur aisé, à de gigantesques ouvrages d’irrigation construits par des êtres intelligents et sages, les Martiens !


Ensuite en 1898, l’écrivain d’anticipation Herbert Georges Wells (né le 21 septembre 1866 à Bromley dans le Kent, mort le 13 août 1946 à Londres, est un écrivain britannique et donna un visage belliqueux aux Martiens dans une de ses œuvres majeures, la « Guerre des Mondes ». Technologiquement plus avancés, les Martiens envahissent la Terre pour la dominer.
Ce roman de Wells masque en réalité une critique appuyée du colonialisme britannique.


Mais le grand public associe désormais les Martiens à une menace potentielle et effrayante, susceptible d’incarner en réalité les peurs collectives. L’adaptation radiophonique de la « Guerre des Mondes » faite par Orson Welles crée, lors de sa diffusion en 1939, à la veille de la Seconde Guerre Mondiale, une panique historique dans certains états des Etats-Unis


Un mythe qui est devenu contemporain


Le temps passant Cette croyance prend encore plus d’ampleur dans la seconde moitié du 20ème siècle avec le début de la Guerre Froide entre les Etats-Unis et l’Union soviétique. C’est d’ailleurs en 1947 qu’apparaissent pour la première fois les « soucoupes volantes », les OVNI (Objets volants non identifiés), ces fusées interplanétaires rapidement associées à des engins secrets soviétiques par les autorités militaires américaines. (Rappelons nous à ce sujet de l’affaire Roswell dans laquelle il serait démontré ou existerait des preuves « matérièlo-humanoïdes détectés dans le monde militaire ..Secret défense» …. !)
On en saura peut être un peu plus lorsque les protagonistes de l’époque seront disparus.

L
e débat sur la présence d’une vie intelligente sur Mars n’est pas pour autant oubliée : il reste toujours l’affaire hautement médiatisée à l’époque du « Visage de Mars », colline martienne dans la région de Cydonia photographiée par l’orbiteur VIKING en 1976, passionne la planète entière. On n’en sait pas plus … !


Au-delà des mythes par la littérature, le cinéma et les croyances les plus diverses, la rencontre avec un « Martien » à peut-être eu lieu en 1996 ! Ouais les gars, en 1996.. Ça fait peur….., un homme de science américain pris en la personne de David McKay, a trouvé avec son microscopie électronique la trace laissée par une nanobactérie une bactérie très petite - fossilisée dans une météorite d’origine martienne, ALH84001 ( rapport Gstium IV the dius américain du 16.1977)


Le bruit de cette découverte, hautement médiatisée, a entraîné toute une série d’analyses et de contre-expertises scientifiques qui ont émis un doute sur la provenance de cette nanobactérie. En réalité, ALH84001 a été peut-être contaminée par des bactéries d’origine terrestre.


En fait, toutes ces infos sont bien présentes, mais à ce jour, début du troisième millénaire, aucune roche martienne ne nous a donné une preuve formelle de l’existence d’une vie martienne présente ou passée. La seule alternative possible est l’exploration de la planète rouge par l’Homme. Oui bien sûr, mais à quel prix !


Les observations des sondes américaines VIKING et MARS GLOBAL SURVEYOR (MGS) ont montré que Mars, comme la Terre à ses débuts, a probablement connu pendant son 1er milliard d’années d’existence, une atmosphère dense, un climat chaud et humide, et surtout la présence d’eau liquide en abondance qui a peut-être été propice à l’apparition de micro-organismes.


L’éloignement du Soleil, mais surtout la petite taille de Mars lui ont fait perdre progressivement son atmosphère et son eau qui, selon l’avis des scientifiques, s’est soit « échappée » dans l’espace, soit solidifiée sous forme de glace dans son sous-sol et aux pôles.


En effet, si les futures missions prouvent l’existence de tels organismes, les scientifiques pourront valider l’hypothèse que la vie peut se développer à n’importe quel endroit de l’Univers si certaines conditions physiques et chimiques sont remplies.
Par exemple, l’existence d’eau liquide pendant plusieurs centaines de millions d’années, protégée des rayonnements ionisants mais néanmoins en présence de source d’énergie et de molécules organiques contenant les éléments CHNOPS : carbone, hydrogène, azote, oxygène, phosphore et soufre.


Si l’ADN de ces organismes est similaire à celui qui existe sur Terre, on pourra alors supposer que nous ne sommes pas si uniques et que dans l’absolu, des formes de vie similaires à la nôtre peuvent exister ailleurs dans l’Univers.


Il reste toutefois curieux qu’il y ait tant de versions contraires, cachées aux médias, alors que ces mêmes médias ont des éléments convergents à un début de réalité, ne serait-ce que sur une présence de vie.


Il n’y a pas que la vie dite « humaine », la bactérie est aussi une forme de vie… !


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