Oh, objet désiré de ma douce flamme !
Je respire enfin l’air que tu respires.
Où que je tourne mon regard,
ce sont tes traits charmants
que l’amour peint en moi,
et mes pensées forment
les plus belles espérances.
Dans le désir qui emplit mon cœur,
je te cherche, je t’appelle, j’espère et soupire !
Ranieri de Calzabigi
Partager cet article Repost0éé
’
ù
’
é
é
éœ
’’è
&version; Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous : Vous aimerez aussi : Je me tiens Les nymphes Baiser Seulette
Poètes d'hier
« Article précédent