Non, je n'ai pas fait d'erreur de frappe. Il ne s'agit pas de Meryl Streep qui se serait mise au post-punk braillard et politique. Pas trop le genre de la maison - enfin, je suppose. Ici, point de romantisme. D'emblée, "The Begining" balance un état des lieux lapidaire de la situation sociale de son pays, l'Irlande et du nombre croissant de pauvreté. N'en déplaise aux chiffres officiels qui stipule que le pays est pourtant un des plus riches en Europe. "Songs for the deceased" est le deuxième album de Meryl Streek. Le premier à arriver à mes oreilles et je peux dire que c'est une petite claque. "If This Is Life" est un hit en puissance, peu importe qu'aucune radio ne diffuse le titre pour le crier à la face du monde. La rage du bonhomme n'est pas feinte et la musique percutante et variée - grosse basse bien sûr mais aussi quelques claviers plus légers - qui accompagne les textes vindicatifs met magnifiquement en valeur ces derniers.
Non, je n'ai pas fait d'erreur de frappe. Il ne s'agit pas de Meryl Streep qui se serait mise au post-punk braillard et politique. Pas trop le genre de la maison - enfin, je suppose. Ici, point de romantisme. D'emblée, "The Begining" balance un état des lieux lapidaire de la situation sociale de son pays, l'Irlande et du nombre croissant de pauvreté. N'en déplaise aux chiffres officiels qui stipule que le pays est pourtant un des plus riches en Europe. "Songs for the deceased" est le deuxième album de Meryl Streek. Le premier à arriver à mes oreilles et je peux dire que c'est une petite claque. "If This Is Life" est un hit en puissance, peu importe qu'aucune radio ne diffuse le titre pour le crier à la face du monde. La rage du bonhomme n'est pas feinte et la musique percutante et variée - grosse basse bien sûr mais aussi quelques claviers plus légers - qui accompagne les textes vindicatifs met magnifiquement en valeur ces derniers.