Nicolas Sarkozy a défendu jeudi sa décision de taxer les revenus du capital pour financer la généralisation du Revenu de solidarité active (RSA), prévue à la mi-2009, jugeant “normale” une mesure qui fait grincer des dents à droite et embarrasse à gauche.En officialisant lors d’un déplacement en Mayenne le dispositif conçu par le Haut commissaire aux Solidarités actives Martin Hirsch pour remplacer le revenu minimum d’insertion (RMI) et l’allocation de parent isolé (API), le chef de l’Etat s’est appliqué à rassurer ceux de ses amis qui s’élèvent contre son choix de recourir à l’impôt pour couvrir le surcoût de la réforme, évalué à 1,5 milliard d’euro par an.
Source: http://news.fr.msn.com/article.aspx?cp-documentid=9366447