Histoire d’amour, saga familiale, polar addictif, portrait sociétal… ce roman qui séduit dès la couverture et dont je ne dévoilerai pas grand-chose, coche toutes les cases et happe le lecteur de la première à la dernière page. La seule chose que je n’ai pas retrouvée dans cet ouvrage qui aborde des thèmes forts tels que l’amour, la résilience, l’addiction ou la différence, sont les défauts inhérents à un premier roman. Outre un talent de conteuse indéniable, Roberta Recchia livre un sans-faute au niveau de l’analyse psychologique de personnages que l’on aimerait continuer à côtoyer au-delà de la dernière page.
Un coup de cœur et une lecture vivement conseillée !
La vie qui reste, Roberta Recchia, Istya & Cie ,397 p., 22€
Elles/ils en parlent également : Aude, Kitty, Evasion polar
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