pour te les raconter

Publié le 25 octobre 2024 par Pjjp44
 

" Il faut voyager à la proue de soi-même."Claude Cahun (citée par Emmanuelle Hutin dans l'émission"La Grande Librairie" sur France5) 
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 Avant-première (en présence du co-réalisateur: Ben Russelvendredi 8 novembre à 19h cinéma Jacques Tati à Saint-Nazaire
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Pas nous, pas nous...

"C’est le cri unanime de toutes les professions, corporations, organisations, associations touchées par une augmentation d’impôt ou une réduction de budget. Et pourtant, avec 6 % de déficit prévu pour l’année 2024, la France va s’endetter de près de 170 milliards d’euros supplémentaires, alors que sa dette cumulée est déjà supérieure à 3 000 milliards. Cette dette a désormais dépassé la richesse produite par la France en un an (110 % du PIB). S’il est illusoire de vouloir la rembourser, du moins est-il impératif d’en ralentir l’augmentation et même de tenter de la réduire. Le gouvernement actuel espère ramener le déficit à 3 % du PIB en 2029, ce qui signifie quand même que la dette continuerait à s’alourdir – « seulement » – 
de 75 à 80 milliards chaque année. Le service de la dette, les intérêts payés aux prêteurs, s’élève déjà à un peu plus de 50 milliards, ce qui représente l’un des plus gros budgets de l’État, pas loin de celui de l’Éducation nationale, 63 milliards.

Tous ces chiffres ne doivent pas nous donner le tournis mais nous permettre d’avoir une vision claire de la situation. « Prendre l’argent des riches », pourquoi pas ? Compte tenu de l’urgence de la situation actuelle, faire contribuer ceux qui le peuvent est sans doute nécessaire et juste.

Pour autant, il est tout aussi nécessaire et urgent de trouver un accord sur la part de la richesse de la France qui doit être consacrée au bien commun et à la solidarité par le biais des impôts et des prélèvements sociaux. Quels risques, quels services la puissance publique doit-elle prendre en charge ? La sécurité des personnes et des biens, la défense du territoire, l’éducation des jeunes générations, la sécurité face aux aléas de la vie, maladie, vieillesse, handicap… ? Sur ces points, tout le monde sera d’accord.

En France, l’État est très protecteur, et ça coûte cher. Qu’est-ce qu’on fait pour être suffisamment riches pour payer cette protection ? Faut-il faire payer plus ? Qui ? Travailler plus ? Qui ? Quand ?

Ce sont des questions très difficiles qui méritent mieux que des petites phrases ou des effets de manche. On aurait pu espérer qu’un parlement sans majorité serait obligé de « parlementer », il semble hélas que les choses ne soient pas destinées à se dérouler ainsi. Les populistes et démagogues ont encore de beaux jours devant eux."Christine Pedotti édito de Témoignage Chrétien (24 octobre)
 
 
   SOURCE
"Les braves gens n'aiment pas que..." Il y a nous et les autres Il y a les presque nous même  aussiils ne font pas partie de la famillemais -tout de même- ils nous ressemblent, puisqu'ils rient de nos blagues connivence, puisqu'ils sont complices de nos regards perdus ,puisqu'ils colèrent contre les mêmes moulins à ventet parlent la même langue de...
et récupèrent à la sauvette les mêmes solutions, les mêmes explications,les mêmes applicationsLike  ses rolling stones .Il faut rentrer dans un moule comme on entre en religionpour se rassurer, pour se retrouver, pour s'imaginerqu'on pense pareil, qu'on panse pareil ,qu'on fera un bout de chemin ensemblejuste un bout, car sur la fin ce sera chacun pour soichacun dans son fort intérieur avec ses illusions en kaléidoscope.il y a moi aux abois et toute la caravane passe, puisqu'elle ne peut pas, ne veut pas s'arrêter;et d'abord pourquoi le ferait-elle?Elle a aussi sa  fragile couverture  de survie à entretenir.son ptit tricot maison pour l'hiveret la tête chercheuse dans le marécagedes sables émouvants de profundis...