En trois mois, cinq femmes, travailleuses du sexe et migrantes, ont été assassinées à Paris et en banlieue. Ce massacre silencieux ne peut plus être toléré.
Ces femmes, précarisées et isolées, sont confrontées à une violence inouïe sans bénéficier de la protection qu'elles méritent.
Chaque femme, quel que soit son métier ou son statut, a le droit de vivre en sécurité et dans la dignité.
Je me tiens aux côtés des associations pour briser cette indifférence collective.