Chronique de colère : Quand l’écologie a perdu, selon Frustration Magazine

Aujourd'hui, je vous parle d'un article qui va vous faire bouillir. Oui, encore. Mais là, je dois dire que Frustration Magazine frappe fort avec un texte qui sent la fin des haricots - ou plutôt la fin de l' écologie. Leur titre ? "Quand l' écologie a perdu". Et croyez-moi, ce n'est pas pour nous rassurer. Accrochez-vous bien, car après cette lecture, vous aurez probablement l'envie irrépressible de jeter vos sacs de recyclage par la fenêtre et de déménager sur une autre planète.

Qui est derrière tout ça ?

Frustration Magazine, pour ceux qui ne connaissent pas encore (vraiment ?), c'est un collectif d'auteurs engagés, spécialisés dans la critique sociale et économique. Ils ne font pas dans la dentelle, et c'est précisément ce qui les rend aussi percutants. Leur objectif : décortiquer le capitalisme néolibéral, et toutes ses conséquences désastreuses, en toute transparence. Bref, ils sont là pour dire ce que personne n'ose. Leur dernier article, signé par l'un de leurs rédacteurs habituels, est une gifle en pleine face pour tous ceux qui croient encore que "faire des petits gestes" suffira à sauver la planète. Leur constat ? On a perdu. L'écologie a perdu. Et si on continue à croire aux contes de fées, on va droit dans le mur.

Le propos de l'article : fini les illusions

L'auteur ne mâche pas ses mots. Dans cet article au vitriol, il explique que le combat écologique tel qu'on le connaît est une vaste farce. Les gouvernements, les multinationales, les "écologistes de salon", tous sont pointés du doigt. Selon lui, l'écologie est désormais un produit marketing, une niche dans laquelle on vend des produits "verts" tout en maintenant le même système qui détruit la planète. Les États signent des accords bidon pour se donner bonne conscience, pendant que les entreprises se contentent de verdir leur image à coup de greenwashing.

Frustration Magazine pousse un cri de rage face à cette récupération de l'écologie par le capitalisme. Parce que soyons honnêtes, acheter une brosse à dents en bambou ou rouler en Tesla ne va pas sauver les forêts brûlées en Amazonie ou stopper les inondations qui ravagent les côtes. Ce que l'auteur dénonce ici, c'est cette idée d'une "écologie soft" où chacun fait sa petite part, pendant que les vrais responsables s'en sortent indemnes.

L'écologie punitive, vraiment ?

Ce qui fait particulièrement rager, c'est la façon dont l'article expose la rhétorique de l'"écologie punitive". Vous savez, cette idée qu'on vous balance à la figure à chaque fois que vous évoquez un changement radical ? L'auteur la démonte en morceaux. Ce n'est pas l'écologie qui est punitive, mais le système dans lequel on vit, qui punit la planète et les plus pauvres en premier. Les riches, eux, continuent de polluer en toute impunité, tout en nous donnant des leçons sur l'importance de réduire notre consommation de plastique. On marche sur la tête !

Mais où est l'espoir, bordel ?

Et là, je vous vois déjà me dire : "Mais qu'est-ce qu'on fait alors ? On baisse les bras ?". C'est justement là que ça pique. L'auteur de l'article n'a pas de solution miracle à nous offrir. Il met plutôt en lumière cette gigantesque hypocrisie, et c'est bien ça le problème. Quand le système est pourri jusqu'à la racine, quelle marge de manœuvre nous reste-t-il ? Est-ce qu'on doit tout envoyer valser ou continuer à se bercer d'illusions ?

En tout cas, une chose est sûre, après avoir lu cet article, on ne pourra plus dire qu'on ne savait pas. Ce texte nous met face à notre propre impuissance et à la complicité involontaire dans cette catastrophe. Alors oui, ça fait mal. Oui, ça donne envie de hurler. Et c'est bien pour ça que je vous invite à le lire, histoire de vous rendre compte de l'ampleur du désastre. Parce que comme le dit si bien Frustration Magazine : "Si vous pensiez que l'écologie était encore un combat qu'on pouvait gagner, désolée de vous annoncer que le match est déjà terminé."

Ce qu'on retient

L'écologie ne peut pas être un simple label marketing. Si on veut vraiment changer les choses, il va falloir taper plus fort, beaucoup plus fort, et arrêter de croire que les petits gestes suffiront. Après avoir lu l'article, vous ne verrez plus jamais l'écologie sous le même jour, et franchement, ça fait peur. Le plus terrifiant, c'est qu'on risque de s'habituer à cette réalité. Moi, en tout cas, je ne m'y résoudrai jamais.

Pour retrouver l'article et toutes les références : https://www.frustrationmagazine.fr/ ecologie-perd/

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Angry Mum, maman active, maman geek et toujours à l'écoute d'Internet... Elle adore les vacances mais pas toujours les vacances scolaires ! Blogueuse depuis 2013. S'abonner à Angry Mum sur Google News