Au terme d'un article sur la crise en Géorgie, Alain Chevalérias s'interroge :
"nous craignons une partie de poker menteur dans laquelle tout le monde aurait joué contre la Géorgie. Les Américains pour utiliser la peur de la Russie, Israël pour réactiver la guerre froide qui le rendait indispensable à l'Occident, et la Russie, pour montrer sa nouvelle force. Quant à Saakachvili, il aurait tenu le rôle de l'idiot utile."