Dans l’Histoire des Jeux Olympiques, voici quelques exemples où certains Athlètes, sont loin d’avoir respecté les Règles Olympiques !
La Championne du 100m était un… « Homme » !
En 1932, aux J.O. de Los Angeles, en Athlétisme, la Polonaise Stanislawa Walasiewiz, âgée de 21 ans, devient Championne Olympique du 100m, en battant le record du Monde de la Spécialité. Mais quatre ans plus tard, aux J.O. de Berlin, elle ne finit que deuxième, battue par l’Américaine Helen Stephens. La délégation Polonaise crie au « Scandale » : l’Américaine serait un Homme ! L’infortunée Helen Stephens devra se soumettre à un examen « Anatomique » approfondi, pour prouver sa Féminité… Sur ce, de nombreuses années passent, et le 4 Décembre 1980, Stanislawa Walasiewiz, qui vit désormais aux Etats- unis, sous le nom de Stella Walsh est victime d’un terrible fait divers : La Championne est abattue lors d’une fusillade sur le parking d’un centre commercial de Cleveland ! A l’autopsie, on constate avec Horreur que Stanislawa, est… un homme, avec…tous ses attributs !
Le Scandale des « Frères…ou Sœurs ?? »
En France après guerre, il y eu une Championne de Course à Pied appelée Lea Caurla. Après avoir raccroché ses « chaussures à pointes », elle prend le prénom de Leo, et devient…. « Père de Famille ! »
Aux J.O. de Tokyo, en 1964, ce sont Deux Sœurs, représentant l’URSS, qui défraient la chronique : Tamara Press, Médaille d’or, au Poids et au Disque, et Tina Press, Championne Olympique du Pentathlon, sont en réalité Deux Frères ! Un doute subsiste, mais en 1966, l’URSS, les retirera de la délégation officielle, quand les premiers tests de féminité furent imposés
Juste un peu d’histoire pour vous dire que ce genre de « méprise », n’aurait pas pu avoir lieu lors de Jeux Olympiques de l’Antiquité, tout simplement parce que ces compétitions étaient réservées aux Hommes, et qu’ils concourraient en costume…d’Adam !
L’Epée, était « pipée »
J.O. de Montréal 1976. Pentathlon Moderne, une épreuve qui comporte 5 disciplines : le Tir, l’Escrime, l’Equitation, la Natation, et la Course à Pied. L’URSS fait figure de favorite, mais à l’issue de l’épreuve de Tir, elle n’est plus qu’en quatrième position ! Arrive l’Escrime et Boris Onischenko, entre en piste, opposé à Jeremy Fox, un modeste Britannique. Le Russe multiplie les Touches gagnantes, qu’un signal lumineux matérialise au tableau d’affichage. Le Britannique s’étonne, et ne comprend pas que le signal s’allume même quand le Soviétique ne l’a pas touché ? Protestations, enquêtes, les juges examinent l’épée de Onischenko et découvrent le « Pot aux Roses » : un fil relié à un bouton caché dans la poignée gainée de cuir lui permettait d’enregistrer un « Touche » par simple pression du doigt, sans avoir a atteindre son adversaire ! L’URSS, est « court-circuitée », et disqualifiée !
En Vrac, quelques dernières « Tricheries Olympiques…
Aux J.O. de Melbourne, en 1956, le Lanceur de Disque Tchécoslovaque Karol Meta a été pris en flagrant délit de tricherie : il lançait un Disque plus « léger » que celui de ses adversaires !
Aux J.O. de Moscou, en 1980, quand les Lanceurs de Javelot Soviétiques entraient en action, l’ouverture de certaines portes géantes du Stade Olympique, provoquait un courant d’air qui améliorait leurs performances ! En 2000 à Sydney, dans l’épreuve de Basket-ball réservée aux Déficients Intellectuels, l’Espagne l’a emporté « Haut la main ! Une enquête a révélé que dix de ses joueurs, n’étaient pas des Handicapés Mentaux, et l’Espagne a dû rendre sa Médaille d’Or !
Cette liste de « tricheurs », n’est pas exhaustive, loin de là !
Mais elle se suffit à elle-même, pour nous prouver, s’il en était besoin, que l’expression enfantine, que nous avons sûrement prononcée, dans notre jeune âge : « Menteur égal Voleur » s’applique aussi bien aux Grandes Compétitions qu’aux Petites « Magouilles », n’entrainant pas un Pays entier dans le Déshonneur, mais parfois « Juste », une Personne peu « Scrupuleuse » !