Journapalm 1884

Par Gui10sto
Il n’est pas nécessaire de verrouiller la porte derrière soi. Le vent est si puissant qu’il empêche quiconque de l’ouvrir. Pour entrer, il faut attendre que le vent s’épuise, ce qui se produit une fois par semaine à la nuit tombée ou bien passer par la fenêtre. Avec le risque d’être pris pour un maraudeur et abattu sur le champ par la garde nationale. Pas facile d’être un adolescent qui cherche à échapper à la vigilance de ses parents dictateurs d’une ancienne république africaine.