Ice Cube (non), Jane's Addicton (non), LL Cool J (non), Public Enemy (non),
Sinead O'Connor (OUI!), A Tribe Called Quest (non),
Sonic Youth (OUI!), Ride X (non), My Bloody Valentine (OUI!OUI!OUI! dans mes 10 albums préférés à vie), Nirvana (non), Crowded House (non, pas cet album en tout cas), Cypress Hill (non), Julian Cope (OUI! sacrée intéressante découverte pour moi!), Gang Starr (non), McSolar (OUI!), Jah Wabble (je ne sais pas, ça se trouve pas au complet), Red Hot Chilli Pepper (noooooon), Ice T (non), Mudhoney (non), encore Public Enemy (non), A Tribe Called Quest à nouveau (non), et là on annonçait Pearl Jam...(noooooooooooooon!)
5/21. Et encore là, MCSolar j'ai commencé à aimer vers 2020 et Julian Cope, depuis 5 semaines.
Mon balado des 1001 albums à écouter avant de mourir tel que pensé par le livre de l'Anglais Robert Dimery et animé par Birch et ses ami(e)s confirmait par 1000 que les sons offerts au début des années 90, (ils sont rendus en 1991), ne m'intéressaient franchement pas, musicalement. C'est l'époque où je revenais en arrière et commençait à explorer le jazz, les Stones, Pink Floyd, Bowie, toujours Bowie depuis 6-7 ans, Eno, Stevie Wonder, Led Zep. Sans eux, on avait pas ce qui allait inspirer les artistes des années 90. Nirvana ferait une reprise de Bowie. Pearl Jam travaillerait avec Neil Young. Il y a un marqueur de la diversification et du "plus pointu" de mes goûts musicaux, et c'est autour de 1991.
Ironiquement dans ce week-end de trois jours (au Canada), je revisiterais encore 1991. Et 1992. Un an avant de rencontrer l'amour de ma vie, et l'année où j'étais dans son entourage.
On a débuté le week-end avec l'envie d'aller voir un film au cinéma ou bien
The Apprentice, ou bien
Saturday Night. Le premier film raconte la relation Donald Trump/Ray Cohn où l'élève a éventuellement dépassé la maitre dans l'art d'attaquer tout adversaire, de nier toute accusation, de ne jamais concéder une défaite. Ça se déroule entre les années 70 et 80. Le second film raconte ce qui a mené au premier épisode de l'émission d'humour, Saturday Night Live, il a y a 49 ans, le 11 octobre dernier. Dans les deux cas, notre fille Punkee n'existait pas. Pourquoi je vous parle d'elle ? Parce qu'elle s'est finalement jointe à nous deux (elle a 21 ans) pour aller voir un film quand ses plans du vendredi ont changé. Je lui alors proposé de choisir le film qui lui tentait et lui ai envoyé les deux bandes annonces. Mais comme elle tardait à répondre, j'ai senti qu'elle n'était intéressée ni par l'un, ni par l'autre, alors je lui ai envoyé la bande annonce d'un troisième film, un remake de film Danois. Qu'elle a vite préféré aux deux autres. Et qu'on a fini par aller voir.
On s'est beaucoup amusé. Premièrement, en prenant le film à 22h20, (
au grand dam de l'amoureuse, mais pour ma fille qui allait rejoindre son amoureux vers 0h00 seulement) on se plantait, deux jeunes cinquantenaires, parmi un public dont personne n'avait plus de 30 ans. Et c'était formidablement le fun pour ça. Dans ce thriller, tout le monde a réagi de nombreuses fois et souvent, ça a applaudi et beaucoup ri. Plus que si on avait été peu et plus vieux. En plus de réaliser à quel point un bon casting rend un film meilleur. James McAvoy et MacKenzie Davis on les aimait d'emblée et on savait qu'ils pouvaient faire tout le film, à eux seuls, mais on découvrait aussi Ainsling Franciosi, Scoot McNairy, Dan Hough & Alix West Lefler. Très bonne distribution. Excellent divertissement. L'amoureuse et moi, ce soir là, on avait aussi 21 ans.
Puis, en se rendant à Québec, cette fois juste l'amoureuse et moi, après avoir mangé au resto avec des ami(e)s de longue date, de plus de 30 ans, on est allé chez l'un des couples et on a visionné de vidéos de nous, à 19-20-21 ans. On était 6 à visionner et 2 des 6, de deux couples différents, n'étaient pas de l'entourage d'alors et s'amusaient beaucoup à nos dépens. Même moi je n'apparais qu'à 20 ans, quand j'ai connu l'amoureuse. On a pris des photos pour envoyer à d'autres ami(e)s commun non présents ce soir-là, Pour les faire rire, ou revisiter avec nostalgie nos partys d'antan.
Quand on avait cet âge, nos soirées du samedi étaient fort occupés. Au retour de nos samedis, ma chambre, chez mes parents (
J'avais quitté à 18 ans), était toujours au sous-sol. À 21 ans (et avant) quand je revenais le samedi soir, de passsage à Québec, je ne me couchais pas tout de suite. J'ouvrais la télé du sous-sol et me tapait souvent ce qui restait de
Saturday Night Live qui était en direct de 23h30 à 1h00 AM le dimanche matin. Libérant des endorphines avant de me coucher. Voilà pourquoi j'ai développé une relation personnelle particulière avec SNL et ai eu envie d'aller voir la fiction sur la première création de cette émission.
Voilà aussi pourquoi j'ai enregistré l'émission de samedi passée, animée par Ariana Grande et chantée par Stevie Nicks. J'ai été surpris qu'on présente en générique la quoi? vingtaine ? de participants à l'émission. Il me semblait par le passé qu'ils/elles n'étaient pas plus que 6 ou 8. Et j'ai pris un coup de vieux en réalisant que je n'en connaissais que 2. Keenan Thomas parce qu'il y est depuis 22 ans et Colin Jost parce qu'il a une bizarre de tête qui plait à Scarlett Johansson qui elle, a l'une des plus belles sur terre. Et ils se partagent un amour commun. J'ai un peu sacré de voir que le direct a défoncé l'heure 32 de programmation et a coupé l'enregistrement préprogrammé. On disait que la fin avait été surprenante et je n'ai pas su comment, ça a cessé d'enregistrer à mi-sketch. Une parodie de pub de
Maybelline avec Dana Carvey, qui semble avoir été l'unique invité surprise de ce week-end anniversaire.
Ils m'ont aussi gagné pour samedi prochain. Où je programmerai pour plus longtemps que l'heure et demie. Me promettant Micheal Keaton et Billie Eilish comme invité(e)s. Deux artistes que j'aime beaucoup.
Comme ce dernier week-end, où j'avais presque 21 ans.
Ce que j'ai techniquement de nos jours, deux fois + 10 ans.