Je ne sais pas qui a pris la photo, mais on ne m'a pas raté dans une de mes manies : à défaut de pouvoir fumer dans un lieu public, renifler un Hoyo de Monterrey (en principe discrètement) entre deux signatures.
Blague à part, un salon fructueux à tous égards (contacts, retrouvailles, ventes...) Merci à Robert Ferraris, romancier bien connu, auteur de polars et créateur du salon, ainsi qu'à toute l'équipe d'organisation.