Grâce à l'A.I on en sait un peu plus sur la sexualité du gamin
Dans la série " Tu la sens ma grosse intelligence!"Pathologique de cette tare de l’écriture et dépourvu d’imagination Balzacienne, je décris des personnages banals d’une vie ordinaire. Parmi « Vous qui passez sans me voir… » il y a une amie brillante, mysandre, climatiste et clitoridienne qui mordille mes maux laids, amicalement. Ces dits mollets de beaufitude s’enorgueillissent de ses réjouissantes morsures. Maso, Gommorhe mutique, le cochon qui sommeille en chaque écrits vains se réjouit de l’efficacité de son hypotypose, lui qui n’a obtenu que des réactions silencieuses à ses hyperbolles souvent vulgaires. Mon lectorat squelettique oublie qu’il y a pourtant une dérive fictionnelle dans chaque récit et si certaines se blessent de s’y reconnaître, j’en mesure l’impact sans l’avoir anticipé. Au delà de la vanité de scripteur besogneux, il y a l’empathie pour celle qui trouve sa place dans ma prosoprographie. Je pose un et je retiens d’eux. Ou d’elle.s Je déduis de cette résurgence de l’affect de celle qui s’encolère d’avoir été icelle et me réjouis qu’elle ne soit plus cette caricature sociale d’une femme tradi qui existe encore et pas seulement dans la Beauce profonde. De chaque échange, l’assertivité est un territoire à défendre. FarouchementMagazine
Défendre ses goûts et valeurs en respectant les goûts et les valeurs d'autrui