« La pulpe des cactus à Acapulco est bien plus fraiche que celle d’un piment poivré à Perpignan. En revanche, rien ne vaut une bonne anchoïade élaborée à Collioure, même si on ne l’accompagne pas d’une bière aromatisée à la Téquila. »
Le critique gastronomique Henri D. est mort juste après avoir noté ces lignes dans son journal intime, à la date du 10 novembre. Et depuis, pas un jour de passe sans qu’un cuisinier désœuvré n’illustre ces propos en élaborant sa vision personnelle de l’anchoïade à la pulpe de cactus.