Un texte savoureux que m'a envoyé un ami.
Photo 2023 Quelques recommandations, toutes établies sur des constats scientifiques bien sûr !
Donnez de l'eau pour les oiseaux… mais il ne faut pas en donner à cause des moustiques !
Évitez les promenades en forêt : les sous-bois regorgent de tiques prêtes à vous tomber dessus. Beaucoup sont porteuses de la maladie de Lyme, une cochonnerie que vous n'avez pas envie d'attraper. Préférez les balades dans les champs.
Évitez les promenades dans les champs : la plupart sont régulièrement aspergés de pesticides, ce qui explique sans doute une espérance de vie plus courte chez les campagnards que chez les citadins. Privilégiez-les balades en ville.
Évitez les promenades en ville : l'air y est saturé de particules fines, que l'activité physique fait pénétrer au plus profond de vos bronchioles, avec à la clé un risque de cancer des poumons.
Évitez les bains de mer : un litre d'eau de mer contient plus d'un million de virus. En buvant la
tasse, vous avalerez aussi des cyanobactéries, des staphylocoques, des streptocoques, ainsi que des chétognathes (vers sagittaires), des polychètes (vers aquatiques) sans oublier les
micro plastiques issus des activités humaines.
Préférez les bains en piscine.
Évitez les piscines : l'urine des baigneurs provoque une réaction chimique avec le chlore,
formant de la trichloramine et du chlorure de cyanogène, des substances dangereuses qui
peuvent affecter les poumons, le cœur et le système nerveux central. Privilégiez-les
baignades en rivière.
Évitez les bains en rivière, très souvent polluées par les rejets des usines situées en amont.
Évitez de boire l'eau du robinet : malgré les traitements, elle contient encore des résidus de
médicaments et de pesticides. On peut même y trouver parfois des composants de
chimiothérapie. Préférez l'eau en bouteille.
Évitez l'eau en bouteille : les palettes de supermarché sont fréquemment stockées en plein soleil et sous l'effet de la chaleur, le plastique libère des particules chimiques dans l'eau.
Évitez les claviers d'ordinateurs, qui abritent jusqu'à 7500 bactéries chacun.
Évitez de serrer la main de vos collègues et amis : 80% des maladies infectieuses se transmettent par contact. Sinon, lavez-vous les mains.
Évitez de vous laver les mains moins de 20 secondes, sinon vous n'éliminez pas toutes les bactéries.
Évitez de vous laver les mains plus de 20 secondes. Cela détruit le film hydrolipidique de la
peau et affaiblit votre système immunitaire.
Évitez de vous essuyer les mains avec une serviette, véritable bouillon de culture.
Évitez d'utiliser les sèche-mains électriques : ils soufflent sur vos mains les bactéries présentes dans l'air.
Évitez de garder les mains non désinfectées : elles abritent jusqu'à 10 000 milliards de
bactéries et des virus qui, comme le SARS-CoV-2 2, peuvent vivre plus de neuf heures sur votre peau. Pour les supprimer, utilisez du gel hydroalcoolique
Méfiez-vous des gels hydroalcooliques : ils amoindrissent la flore cutanée commensale qui
participe à vos défenses immunitaires. Certains gels peuvent par ailleurs contenir du benzène,cancérigène connu qui peut provoquer des leucémies, et d'autres, du triclosan ou du
triclocarban, soupçonnés de favoriser le développement du cancer du sein.
Évitez de respirer : en inhalant, de 17 000 à 400 000 virus pénètrent vos poumons chaque
minute.
Évitez l'exercice physique : la ventilation augmentant avec l'effort physique, un simple
footing peut vous faire avaler plus de 2 millions de bactéries à la minute.
Évitez l'inactivité : un exercice physique modéré améliore la fonction immunitaire...
Ah... j'oubliais : si jamais ces conseils, malgré leur fondement scientifique, ne vous inspirent
pas, il vous reste une alternative, depuis longtemps oubliée. Cela s'appelle vivre.
N.D.L.R
Évidemment, de nos jours, si on veut tenir compte des milliers d’études qui sortent quotidiennement, souvent contradictoires, on ne vivrait plus.
Toutefois, le problème est que beaucoup de ces études sont exactes et que les méconnaitre peut nous couter très cher.
Au demeurant, il est avéré que notre monde est infiniment plus dangereux que le monde d’hier lorsque le dérèglement climatique et la pollution n’avaient pas encore été établis.
Je suis de la génération des baby boomers et j’ai pu vérifier que nous étions beaucoup moins sensibles aux microbes et virus que les enfants hyper protégés d’aujourd’hui. Et, si nous n’avons pas trop fait de bêtises, ou si nous avons finalement adapté correctement notre mode de vie, nous pouvons bénéficier encore, même à un âge avancé, d’un système immunitaire performant. Ce qui sera plus difficile pour les enfants d’aujourd'hui, car les risques sont de plus en plus importants.
Enfin, nous sommes tous uniques et en matière de santé notamment, ce qui est bon pour les uns ne le sera pas nécessairement pour les autres.
D’où la nécessité de prêter attention aux études majeures, de les appliquer et de vérifier leur effet sur notre organisme.
Il reste que les principes essentiels pour une bonne santé, sur lesquels toutes les études scientifiques s’accordent, sont maintenant connus de tous :
- Ne pas fumer ;
- Boire modérément ou pas du tout ;
- Diminuer le sucre au maximum ;
- Éviter la nourriture hyper transformée (processed food) comme la peste ;
- Pratiquer l’exercice physique le plus souvent possible et le plus longtemps possible, c'est-à-dire jusqu’à un âge avancé ;
- Ne pas devenir esclave des écrans ;
- Évitez la fréquentation des personnes toxiques.
Bien entendu, on peut aussi ne pas en tenir compte et profiter de sa vieillesse pour faire tout ce dont on a envie sans se préoccuper de l’avenir qui, c’est inévitable, est la mort, de toute façon. C’est ce que font beaucoup de personnes.
En ce qui me concerne, le spectacle qu’offrent ces “amoureux de la vie” …(à en mourir), ne me tente absolument pas. J’ai profité largement de tous les plaisirs que la vie peut offrir jusqu’à ma retraite, à 60 ans pile. Depuis cette date, j’ai commencé à appliquer tous les principes évoqués plus haut.
Le résultat est que ma vieillesse, j’aurai 78 ans dans deux mois, s’avère la période la plus agréable de ma vie.
En effet, je suis, à ce jour, en pleine santé. Certes, cela peut changer demain, mais à 77 ans, je n’aurai rien à regretter.
Je suis libre comme l’air, célibataire depuis 25 ans après avoir été marié deux fois 15 ans et eu deux fois deux enfants.
J’ai pratiqué toute ma carrière un métier, comptable public dans l’Éducation nationale (on disait alors : intendant) qui ne correspondait pas du tout à mes aspirations de jeunesse (j ’ai fait des études de sociologie, dans les années 68 !) mais qui, finalement, m’a permis de travailler sous les Tropiques, avec la clim, durant des décennies : Martinique, Guadeloupe, Saint-Barth, Saint-Martin, pendant 16 ans. La Réunion, durant 11 ans.
Ce métier m’a permis également, grâce à ma passion pour l’informatique que j’ai découverte et appliquée tout seul et à mon travail dès les années 80, de ne jamais m’ennuyer au boulot. Et, accessoirement, de pouvoir tester dans mon collège ou mon lycée les toutes dernières technologies pour les appliquer immédiatement : ordinateurs Epson, le Macintosh, les premiers ordinateurs portables (Compaq, 12 kg !), les réseaux, Linux, les Courants Porteurs de Ligne, le Wi-fi, l’Internet, les premiers smartphones (Nokia Communicator) bien avant l’iPhone, etc.
Aujourd’hui, à la retraite, je suis à fond dans l’intelligence artificielle et je ne m’ennuie toujours pas.
Sans oublier que mon métier m’a apporté aussi, last but not least, une retraite plus que correcte. Que j’aie eu la bonne idée de solliciter avant que beaucoup de ses avantages ne disparaissent, en 2007, il y a donc déjà 17 ans. En effet, j’ai pu partir à 60 ans, avec 80 % de mon dernier traitement, plus 15 % pour mes quatre enfants, plus 35 % de sur-rémunération propre à la Réunion. J’ai perdu rapidement ce dernier avantage en m’installant en Thaïlande pour sept ans. Mais, à cette époque, la vie en Thaïlande était si peu chère, et la vie à la Réunion si chère, qu’avec 1000 euros de moins par mois, je n’ai pas senti la différence.
Autrement dit : sauf accident ou gènes déficients, c'est-à-dire avec de la chance aussi, il faut bien le dire, je considère que l’on a la vie et la fin de vie que l’on mérite.