Un court poème en ce début septembre pour être zen face au tourbillon de la rentrée… et face au tourbillon de la vie tout court.
Tu n’as pas aujourd’hui de pouvoir sur demain ;
L’anxiété du lendemain est inutile.
Si ton coeur n’est pas insensé, ne te soucie même pas du présent ;
Sais-tu ce que vaudront les jours qu’il te reste à vivre ?
Omar Khayyâm (1048-1131), Les Quatrains, traduit de l’anglais par Charles Grolleau., Allia, 2008