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La séduction contribue au bien-être

Publié le 02 septembre 2024 par Chrisandflow

Alors, dans cette vidéo, j’aimerais aborder le sujet du bien-être, parce que j’estime qu’il est en lien très étroit avec la séduction. Parce que, pourquoi on séduit, finalement, si ce n’est pour avoir un meilleur bien-être, optimiser son bien-être ?

Parce que, finalement, la séduction répond à deux besoins :

  1. Le besoin de sexe, qui est un besoin physiologique : on a besoin de sexe, presque comme on a besoin de nourriture et d’eau, tu vois, et puis de dormir. C’est un besoin physiologique important.
  2. Le besoin d’affection féminine, de compagnie féminine : on a besoin d’affection féminine parce que c’est, pour l’homme, en quelque sorte, un substitut à l’amour maternel, en fait.

Tu vois, c’est quelque chose dont on est tombés addicts j’ai envie de dire, depuis qu’on est bébé, depuis qu’on a reçu l’amour de notre mère.

En fait, il y a beaucoup de choses qu’on cherche à récupérer, depuis qu’on est dans le ventre de notre mère.

Tu sais, il y a une théorie qui dit qu’on aime beaucoup les bains chauds – on trouve ça très relaxant – justement parce que ça nous rappelle les conditions dans lesquelles on était, quand on était dans le ventre de notre mère.

En fait, il y a des trucs comme ça qu’on a expérimenté, quand on était nourrisson, et qu’on cherche à expérimenter de nouveau. Et je pense (c’est ma conviction) que le besoin d’affection féminine, c’est le désir inconscient de retrouver de l’amour maternel : le truc « fusionnel » qu’on a ressenti avec notre mère et qu’aujourd’hui, forcément, on ne peut plus avoir avec sa mère.

Ce lien très intime, on peut encore l’avoir avec une femme avec qui on peut partager notre intimité.

Bref.

Donc, dans cette vidéo, je vais parler de bien-être sans être spécialement qualifié en tant que coach en développement personnel. Cela dit, sans vouloir me vanter, je pense que j’ai une certaine légitimité à parler du bien-être, parce que le bien-être, en fait, c’est une question philosophique que je me suis beaucoup posée. J’ai beaucoup réfléchi sur le sujet, parce que, moi, pendant très longtemps, jusqu’à à peu près l’âge de 30 ans, j’avais une vie hyper minimaliste…

  • Je n’avais pas de thunes, je suis resté étudiant longtemps.
  • J’avais une vie ultra simple : grosso modo, je passais mon temps libre à draguer, à fréquenter des nanas ou à fréquenter des potes.

Ce n’était pas une vie riche en abondance. Je ne voyageais pas en jet privé, je n’avais pas mon yacht perso, je n’avais pas de voiture (je n’avais même pas de permis d’ailleurs). Bref, tu vois ce que je veux dire par là…

J’avais une vie ultra-simple, ultra-minimaliste, une vie très low-cost. Et malgré tout, je pense que j’étais probablement, dans mon entourage en tout cas, la personne la plus épanoui, le mec le plus heureux dans sa vie que je connaissais.

De mes 20 ans à mes 30 ans, et même jusqu’à aujourd’hui, je n’ai fait que « kiffer ma life ». J’ai eu une vie super fun, pleine d’aventures, pleine de rencontres.

Ce que je vuex dire par là, c’est que moi, j’ai eu une vie en fait très simple, et je n’ai pas vécu dans les conditions, surtout les conditions matérielles en fait, dans lesquelles on pense que le bonheur va se faire ressentir, si tu vois ce que je veux dire.

Parce que si tu demandes à quelqu’un lambda, qu’est-ce que le bonheur, comment être heureux, etc., il va te dire plus d’argent, une plus grande baraque, etc. En gros, il va définir le bien-être selon des critères purement matériels. Et on sait, il y a beaucoup d’études qui l’ont montré, qu’en fait, l’abondance matérielle ne t’apporte pas le bonheur. D’ailleurs, il y a un très bon film qui critique un peu ça, tu vois, qui critique la recherche du bonheur à travers le matériel, la recherche de reconnaissance, etc., etc., qui s’appelle « La famille Smith » je crois, qui est grosso modo l’histoire d’une famille fictive qui emménage dans un quartier, tu sais, aux États-Unis, un quartier riche.

[NB : le titre du film est « La famille Jones« , et pas Smith]

Et en fait, cette famille fictive est une famille d’acteurs embauchés par une firme publicitaire pour promouvoir un tas de produits : des bagnoles, des appareils électroménagers, etc., etc., au voisinage. Et en fait, les voisins deviennent jaloux, ou en tout cas envieux, de leurs biens matériels. Et donc, ils s’achètent les mêmes choses, par exemple, la même bagnole. Et dès que le voisin s’est payé la même bagnole, eh bien on donne à la fausse famille une autre bagnole, encore plus balèze, encore plus chère pour continuer à générer ce sentiment d’insatisfaction. Et l’histoire finit par le suicide d’un des voisins.

C’est pour dire que les biens matériels, bien qu’on associe souvent le bien-être à ça, tu vois, à avoir une belle bagnole, une belle maison, etc., etc., ça ne t’apporte pas le bonheur, en tout cas, pas à long terme.

Si tu t’achètes une nouvelle bagnole, la bagnole de tes rêves, peut-être que tu vas kiffer ta vie les deux, trois premières semaines. Mais après, l’excitation va retomber. C’est un peu comme une nouvelle relation.

Et hormis ça, en fait, ce qui t’apporte du bien-être, ce n’est pas tes biens matériels, c’est ton lifestyle.

Tu peux être heureux avec peu de choses, tu vois, si tu as un lifestyle que tu kiffes vraiment. Et tu peux être malheureux alors que tu es milliardaire, parce que ton lifestyle est en fait merdique.

  • Tu passes tout ton temps à bosser.
  • Ton boulot, c’est une palanquée de contraintes.
  • Tu rentres à la maison, ta femme est désagréable… C’est une mal baisée parce que, toi, tu n’as pas le temps de la baiser après le boulot.
  • Tes enfants, ce sont des branleurs.
  • Etc., etc.

Bref, tu m’as compris. Tu peux être riche, tu peux vivre dans un énorme confort matériel sans être heureux, si tu as un lifestyle tout pourri qui pue du cul.

Donc voilà, moi, j’avais très peu de confort matériel, en tout cas comparé à un homme occidental moyen. Et pourtant, je pense que j’étais probablement le mec le plus heureux que je connaissais. Et à un moment donné, je me suis demandé : pourquoi ?

Qu’est-ce qui fait que les autres gars autour de moi sont mal dans leur peau, qu’ils ne sentent pas bien dans leur vie, etc., etc.?

En gros, je me suis posé la question : pourquoi je suis plus heureux que mes potes, pourquoi je suis plus heureux que tous les gens de mon entourage, alors que j’ai une vie ultra simple avec très peu de confort matériel ?

Grosso modo, ma vie, c’était : je bossais ou je faisais des études (les deux en même temps souvent). Je draguais, je passais un peu de temps avec mes amis de temps en temps quand même, je passais du temps aussi avec des femmes, tu vois : mes copines, mes sexfriends, tout ça. J’avais aussi pas mal de liberté, tu vois, enfin, peu de contraintes et pas mal de temps libre, parce que j’étais étudiant.

Puis pour le reste, j’avais une vie très simple, sans excès.

De temps en temps, j’allais voir la famille. Voilà, rien de transcendant, quoi.

Et en fait, avec le recul, ce dont je me rends compte, c’est que ce qui construisait mon bien-être à l’époque, et ce qui construit encore mon bien-être aujourd’hui, c’est ma capacité à assouvir mes besoins quand j’en ai besoin.

Je ne dis pas que c’est le seul élément qui va te rendre heureux, mais j’ai la conviction que c’est l’un des principaux piliers de ton bien-être : c‘est ta capacité à assouvir un besoin que tu ressens, un besoin qui est important à assouvir pour toi et que tu veux (tu dois, même…) assouvir.

Par exemple :

  1. Tu as faim (la faim, c’est un besoin).
  2. Tu te prépares un bon repas ou tu vas au resto – bref, tu te fais plaisir (parce que c’est important d’éprouver du plaisir dans le processus de l’assouvissement de ton besoin).
  3. Et une fois que tu auras bien bouffé, tu seras rassasié et là tu vas te sentir comblé !

Autre exemple : Tu as soif…

Qu’est-ce que tu fais ? Tu te sers un bon verre d’eau bien frais, ou une infusion, ou ce que tu veux. Un truc qui te fait plaisir, sans que ce soit un truc qui soit mauvais pour ta santé non plus (sinon, à long terme, ça peut porter préjudice à ton bien-être aussi, car si tu es en mauvaise santé, c’est quand même plus difficile de se sentir bien dans sa peau ou bien dans sa vie). Mais voilà : tu te prépares un bon verre d’eau, une infusion, un bon cocktail avec des fruits, tu vois. Tu te rassasies. Tu es comblé !

Ton sommeil ? C’est simple : tu te prépares un bon lit douillet, bien chaud, dans une pièce relativement froide, et tu dors. Tu kiffes bien, tu te fais tes 8 heures.

Grosso modo : tu pars d’un point A, un besoin à assouvir, et tu vas à un point B, ton besoin comblé.

Et cette capacité à combler ce besoin, et systématiquement parce que ce besoin-là, tu vois, tu vas le combler à un moment donné, mais il va revenir. Cest un cycle sans fin. C’est-à-dire que si tu as faim, même si tu vas bouffer dans un buffet à volonté et que tu te pètes le bide, eh bien, demain, tu auras faim à nouveau. Et tu auras encore besoin d’assouvir ton besoin.

Donc, ta capacité à assouvir tes besoins, et de bien les assouvir, tu vois, c’est-à-dire bouffer des trucs qui te font plaisir, boire des trucs qui te font plaisir, bien dormir, tu vois, dans un bon lit douillet, ce genre de trucs. Et puis, j’ai même envie de dire, en fait, le processus, tu vois, c’est-à-dire tu peux prendre plaisir aussi à aller au resto, ou à préparer ta bouffe, ou à préparer ton petit lit, ce genre de trucs. Ta capacité à aller du point A au point B à chaque fois que tu retournes au point A, eh bien, c’est ce qui permet d’optimiser ton bien-être. Parce que tu n’as jamais de besoin [inassouvi] qui te fait souffrir.

Alors que si tu n’es pas capable de le faire, ou si tu galères même à le faire, tu vois, à passer du point A au point B, au moment où tu ressens le besoin jusqu’au moment où tu l’assouvis, eh bien, ça dégrade ton bien-être.

C’est-à-dire que le mec qui crève la dalle, tu vois, qui passe trois jours sans bouffer parce qu’il n’a pas de quoi bouffer, eh bien, il sera malheureux, tu vois.

Tu vois, je t’ai dessiné [avec mon super talent de dessinateur graphique] une courbe pour t’illustrer le truc.

Plus tu mets de temps et galères à satisfaire un besoin, plus ton bien-être se dégrade !

Si tu as constamment faim, soif, etc., tu ne vas pas être bien.

Après, voilà, je te donne un exemple pour des besoins physiologiques, tu vois, que ici, là où on habite, eh bien, on comble facilement. (Après, éventuellement, on peut parler de la qualité de la nourriture, tu vois. Est-ce que tu te fais vraiment plaisir quand tu manges un truc industriel, tu vois.) Mais, globalement, si tu vis dans un pays riche, tu vas satisfaire ces besoins facilement.

Mais, mais… Qu’en est-il des autres besoins? Notamment, je parlais de besoin de sexe, je parlais de besoin d’affection féminine, et j’ajouterais même le besoin d’estime, de reconnaissance…

Eh bien, ces besoins-là, ils ne sont pas si faciles à assouvir là où on habite.

***

Alors, avant d’aller plus loin dans la vidéo, je voulais te faire une annonce.

Je sais pas si tu me suis depuis longtemps, mais jusqu’au mois de juin dernier, je publiais un billet de newsletter quotidien que j’envoyais par mail, tu vois.

J’ai pris une petite pause cet été, mais là, à partir de septembre, je reprends. Je vais redémarrer ma newsletter quotidienne, enfin, quasi quotidienne, parce que je publierai probablement pas de billet ni le dimanche, ni le lundi, mais du mardi au samedi.

Je partagerai avec toi :

  • soit une réflexion,
  • soit une technique,
  • soit une astuce,
  • soit un conseil,
  • soit une analyse.

Et donc, si tu n’es pas encore abonné à ma newsletter, tu peux le faire tout de suite, ça coûte rien.

Le formulaire se trouve si dessous. Tu as juste à entrer ton email, c’est tout. Et puis je t’enverrai une nouvelle astuce, ou une nouvelle technique, ou un nouveau conseil tous les jours, en tout cas du mardi jusqu’au samedi.

[Je me suis trompé en disant dimanche dans la vidéo… les aléas du direct ;-).

Voilà, ça prend 30 secondes et c’est totalement gratuit.

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***

Alors, maintenant, la question est : quels besoins est-ce qu’on a, bah besoin, on va dire ça comme ça… Quels besoins avons-nous besoin d’assouvir régulièrement ?

Alors, il y a Maslow qui apporte un élément de réponse avec sa pyramide que tu dois connaître.

Alors, ça donne un premier élément de réponse, mais, je sais pas ce qu’il en est pour toi, mais moi, cela ne me parle pas trop… Enfin… Il y a certains besoins dans la pyramide de Maslow qui me parlent pas trop.

Alors, les besoins physiologiques – dormir, manger, faire l’amour, boire… – oui, d’accord. Ca me parle carrément, même si je mettrais pas forcément tous ces besoins physiologiques dans le même paquet.

Pour moi, le besoin de faire l’amour, c’est un besoin qui n’est pas vital, tu vois, contrairement aux trois autres. Mais c’est un besoin, malgré tout, qui va conditionner ton bien-être.

Après, il y a d’autres trucs, genre le besoin d’appartenance ou des trucs comme ça, qui, moi, me parlent pas forcément. Voilà.

Je sais pas ce qu’il en est pour toi, mais en fait, ce que je pense, c’est que les besoins ou la hiérarchie des besoins varient d’une personne à l’autre et aussi varient avec l’âge, parce qu’on n’a pas besoin des mêmes choses à 20 ans qu’à 40 ans.

Moi, quand j’avais la vingtaine, grosso modo, c’était les besoins physiologiques primaires, tu vois. Manger, boire, dormir. Le sexe et l’affection féminine. Donc séduire des femmes, passer du temps à leur compagnie, mais dans un rôle bien précis, tu vois, pas celui du pote… Un rôle, on va dire, « privilégié », celui de l’amant ou du copain, tu vois. Et j’avais un peu comme tout le monde, un besoin de reconnaissance, d’estime, tu vois.

Alors, reconnaissance, pas dans le sens recherche de validation, recherche d’approbation de la part des autres. J’ai jamais quémandé la validation des autres. Mais j’avais quand même ce besoin, en tout cas, ça nourrissait mon estime de moi-même, parce qu’on a tous besoin d’estime de soi, tu vois, pour se sentir bien dans sa peau.

J’avais besoin de me sentir utile et, ce besoin-là, je l’ai pas mal comblé grâce à la séduction.

D’abord, grâce à mon Lair, tu sais… Quand j’étais à Lille je gérais un Lair avec d’autres gars qui s’intéressaient à la séduction. Certains sont même devenus coachs plus tard. Bon, je crois qu’aujourd’hui, ils ont tous quitté le marché de la séduction, mais il y a eu, je sais pas, quatre, cinq coachs qui venaient du Lair de Lille.

Bref, j’avais donc un Lair, un groupe de dragueurs (on va dire ça comme ça), et j’avais mon blog Drague Academy qui faisait que j’apprenais aux mecs à mieux draguer, à améliorer leur vie sentimentale et sexuelle. Et même en dehors de l’argent, parce que j’ai mis du temps en plus à le monétiser (je ne m’étais pas professionnalisé vite, à la base, c’était juste un projet un peu comme ça, construit à l’arrache ; j’ai pas démarré avec un business plan et une idée vraiment précise de comment j’allais monétiser, comment j’allais gagner de l’audience, etc., ça s’est fait un peu par hasard) Drague Academy m’a beaucoup servi au départ à me sentir utile et à construire mon estime de moi-même. Tu vois. Parce qu’il y a forcément des gens qui t’apprécient et qui te remercient, voire même qui t’idolâtrent parfois. Sans vouloir être idolâtré, ça fait quand même plaisir pour l’estime, ça fait quand même du bien pour l’estime de se sentir apprécié, de se sentir reconnu, de se sentir estimé. Et, bah voilà ! J’avais tout ça et ça me suffisait pour me sentir comblé.

J’avais pas besoin d’assouvir mille besoins, c’était juste quelques besoins. Et comme je savais les assouvir. Et rien que le fait de les assouvir, le processus qui amène à l’assouvissement, me procurait du plaisir (draguer me procurait du plaisir, aller en rencard me procurait du plaisir, faire l’amour me procurait du plaisir…). Donc, je prenais aussi beaucoup de plaisir à assouvir mon besoin. Ce qui, je pense, est important, est très important.

Parce que, déjà, le simple fait d’être en action, tu vois, d’être dans le processus pour aller du point A à point B, ça te donne du plaisir, ça réhausse ton bien-être. Et aussi, je pense que, dans une certaine mesure, il faut aimer pour être efficace. Surtout lorsque on parle de séduction et de vie sentimentale et sexuelle.

Bref, pour résumer le truc, tant que je dormais bien, que je bouffais bien, que je buvais bien, que je baisais bien, que je passais du temps avec des nanas et que je me sentais utile, que je me sentais reconnu, j’étais bien ! Je me sentais bien dans ma peau, je me sentais bien dans ma vie, et c’était parfait.

Évidemment, je ne dis pas que ma vie était parfaite à 100%, qu’elle n’était pas améliorable, mais tout ce dont j’avais besoin, je l’avais, tu vois ? Tous les besoins essentiels que j’avais, les besoins qui étaient primordiaux pour me sentir épanoui, me sentir bien dans ma vie, j’arrivais à les combler régulièrement.

Donc, à partir de là, j’étais heureux.

Aujourd’hui, c’est un petit peu la même chose, mais en quelque peu différent, parce que mes besoins ont évolués. J’ai développé d’autres besoins et j’ai peut-être moins besoin de certaines choses, tu vois. Aujourd’hui, j’approche suis à la quarantaine, j’ai moins besoin de sexe qu’à la vingtaine, tu vois. J’ai moins besoin aussi de compagnie et d’affection féminine, tu vois.

Je ne sais pas si c’est du au fait que j’en ai suffisamment eu dans ma jeunesse pour ne pas trop en désirer aujourd’hui, pour ne pas avoir un besoin exacerbé aujourd’hui. Je ne sais pas si c’est la baisse de testo, parce que tu sais, à partir d’un certain âge, la testostérone baisse, c’est naturel, tu vois. Même si tu l’optimises, ta testo baisse.

Donc, peut-être qu’il y a de ça un petit peu.

Je ressens toujours ces besoins, hein. C’est toujours des besoins qui sont présents et que j’assouvis régulièrement. Mais ils sont moins importants. En fait, je peux passer plus de temps sans en avoir besoin. Et ça ne dégrade pas mon bien-être pour autant, tu vois ce que je veux dire ? Comparé à quand j’avais 20 ans.

Alors, je ne sais pas si c’est ton cas aussi, si tu as plus de 35 ans… C’est quelque chose que j’ai commencé à ressentir vraiment à partir de 35 ans, tu vois… C’est un besoin d’accomplissement personnel. C’est en fait avoir une sorte de mission de vie : c’est en fait pas un objectif mais un projet de vie, tu vois, long terme qui va même au-delà du lifestyle. C’est comment tu veux vivre ta vie et ce que tu veux réaliser, quoi. Mais pas dans les 6 mois, 1 an. C’est pour les 30, 40 prochaines années, peut-être jusqu’à ta mort, tu vois.

Et se fixer une mission de vie, pour le besoin d’assouvissement personnel en fait, c’est quelque chose que je pense, un homme a besoin autour de 30, 40 ans, pour avoir une vie stimulante, parce que c’est là, en général qu’on connaît une certaine crise existentielle, tu vois.

C’est-à-dire que ta jeunesse est derrière toi, tu te rends compte que tu n’es pas éternel et tu commences à te poser des questions sur la vie, comment tu veux vivre, qu’est-ce que tu veux réaliser jusqu’à la fin de tes jours, tu vois.

Et c’est là où il te faut un réel projet, en fait, une réelle mission que tu te fixes à toi-même.

Ça peut être une mission égoïste ou altruiste.

  • Ça peut être, voilà, je veux vivre ma vie comme une aventure et voyager dans tous les pays du monde.
  • Ça peut être, je veux aider des milliers d’orphelins autour du monde. Ça peut être aussi les deux, hein.
  • Ça peut être aussi les deux, ça peut être « je peux aider des milliers de personnes à être mieux épanouis dans la vie, et en même temps, vivre ma vie comme une aventure, voyager, etc., etc. »

Mais en tout cas, je pense qu’à partir d’un certain âge, il faut un projet, un truc stimulant qui donne surtout un vrai sens à ta vie, tu vois, qui fait que tous les matins, tu te réveilles et tu te dis : ‘Voilà, j’accomplis ma mission, j’accomplis mon projet ».

Mais ça, comme je te l’ai dit, c’est plus un truc que tu vas faire à partir de 35, voire 40 ans, quand tu vas commencer à connaître une sorte de « crise existentielle », tu vois, et que tu vas ressentir qu’il va te falloir plus que juste baiser quelques gonzesses, bien bouffer, passer du temps avec des meufs, etc., pour, bah, avoir une vie épanouie. Voilà.

Bref, fermons la parenthèse !

Si t’es jeune, ça te concerne probablement pas. Probablement que juste, bah, bien bouffer, avoir des potes, bien baiser, avoir une ou plusieurs copines qui te plaît, bah, ça te suffit.

Mais à 40 ans, il y a un nouveau besoin. En tout cas, moi, ça a été mon cas. Il y a un besoin de sens, d’accomplissement personnel qui se réveille. Et dans ce cas-là, ça peut être intéressant de te fixer une « mission de vie », un truc que tu veux vraiment accomplir tout au long du reste de ta vie. Voilà.

Pour améliorer ton bien-être, la première chose que tu dois faire, c’est identifier tes besoins.

Quels besoins tu as que, si t’arrives à assouvir régulièrement, bah, tu te sentiras beaucoup plus heureux, beaucoup plus épanoui ?

C’est la première chose.

Ensuite, une fois que tu as une bonne idée des besoins, que tu as besoin d’assouvir, eh bien, il faut tout simplement que tu apprennes à (bien) les assouvir !

Alors, moi, j’ai tendance à penser que les besoins d’un mec normal, c’est à peu près les mêmes que les miens. C’est à peu près les mêmes que je viens de te donner. C’est-à-dire, bah, besoin physiologique primaire et besoin de sexe (qui est un besoin physiologique aussi, mais que je mettrais à part des trois autres) parce que, ce n’est pas vraiment primaire, tu peux t’en passer en réalité. Mais, pour beaucoup d’hommes, ça va quand même être très important pour leur bien-être, parce que, voilà, ça va empêcher de ressentir de la frustration et il y aura également beaucoup de bienfaits, sur ta santé mentale, sur ta santé physique même. Le sexe est très bon pour la santé physique et mentale. Et, bien entendu, le besoin d’affection féminine.

Il y a aussi le besoin de reconnaissance, évidemment. Pas dans le sens chercher l’attention des gens, chercher à être aimé, etc., etc. Mais plutôt dans le sens « se sentir une utilité », tu vois.

L’estime que tu dois travailler, ce n’est pas l’estime que t’as envers toi-même d’abord. Tu vois ?

Ce n’est pas l’estime des autres, ce n’est pas ce que pensent les autres de toi.

Si t’as une vision de toi très négative, parce que tu mens, que tu es un grand mythomane et tout ça, peu importe que les gens aient une forte opinion de toi. Ce qui importe, c’est ce que TOI, tu ressens à l’intérieur. C’est l’opinion que t’as de toi-même.

Et si tu te dis : « Je suis un grand mytho, je suis une grosse merde en réalité, mais les gens m’idolâtrent », bah ça va pas t’aider à construire une bonne estime de toi-même, tu vois ?

Ce qu’il faut, c’est faire des trucs qui renforcent ton estime de toi-même, peu importe ce que c’est.

Si être altruiste te permet d’avoir une meilleure opinion de toi-même, une meilleure image de toi-même, ça va t’permeter de gagner en estime à tes propres yeux et ça, c’est le plus important, tu vois.

Moi, Drague Academy, ça m’a beaucoup apporté à ce niveau-là. Parce qu’en prodiguant des conseils, en disant la vérité aux gens, ce que je pensais vraiment de la séduction, bah je me suis senti utile et mon estime de moi a augmenté grâce à ça.

Donc voilà, c’est important aussi et, normalement, si t’as tout ça, si tu sais assouvir tous ces besoins là, eh bien, il n’y a pas de raison que tu ne te sentes pas bien dans ta peau. Et ce, peu importe tes conditions économiques. Tu vois ? Tu peux vivre dans un 12 m2, si t’as tout ça, tu seras relativement heureux.

Bon, après, il ne faut pas abuser non plus… Il y a besoin d’un certain confort de vie. Il y a aussi des études qui ont été menées, plus tu as un bon confort de vie, jusqu’à un certain niveau, et plus ton bien-être a tendance à s’améliorer.

Cela dit,, le confort de vie, l’a présence’aisance économico-matérielle, tu vois, ça a ses limites. Et si tu as cela, tu as beaucoup moins besoin de ce confort économique.

Et si tu as le confort économique, mais que tu n’as pas cela, je ne pense pas que tu puisses te sentir épanoui dans ta vie.

Donc, il faut ça !

Après, là où on peut débattre, c’est que le confort économique [le statut social qui t’apporte ton confort économique, pour être plus exact] te permet aussi d’être plus attirant, et donc d’assouvir beaucoup plus facilement tes autres besoins.

Mais sans vouloir passer pour un anticonsumériste primaire, je pense que quand on sait assouvir ces besoins, on a beaucoup moins besoin du « palliatif matériel », pour être bien dans sa vie, pour être bien dans sa peau.

Voilà.

C’est ce que je te disais au début de cette vidéo, c’est que jusqu’à l’âge de 30 ans j’étais sans le sou et pourtant j’ai kiffé ma vie !

Après, à 40 ans, c’est autre choseparce qu’on a besoin d’un meilleur confort de vie, parce que ça apporte une certaine sécurité aussi. Mais, voilà, sans partir dans un débat philosophique avec moi-même, je dirais que :

Tes besoins, ceux que tu as besoin d’assouvir, sont le pilier (le plus important). Le reste, c’est du bonus.

C’est bien d’avoir du confort matériel, c’est bien d’être blindé aux as. Si tu peux l’être, tant mieux. Mais ce n’est pas parce que tu es blindé aux AS que tu seras heureux, tu vois ?

C’est un petit peu comme la pyramide de Maslow, finalement : tu as la base, puis tu as les étages supérieurs. Et l’aisance économique, c’est plus l’étage supérieur, tu vois.

Bref, avant de conclure, pense à t’abonner à ma chaîne, ça me permet d’être mieux référencé, donc mieux récompensé pour mon travail. Et ça, c’est important.

Si ce genre de réflexion, ce genre de conseils t’intéresse, et aussi recevoir mes tips quotidiens pour améliorer ta vie sentimentale et sexuelle, je t’invite à t’abonner à ma newsletter quotidienne que je vais relancer à partir de septembre.

⊂⊂

Les bons conseils de tonton Chrys !

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Voilà.

Et pour conclure, ne néglige jamais ton besoin de sexe et ton besoin d’affection féminine : ça influence largement sur ton bien-être.

Et comme la faim, la soif ou le sommeil, tu dois savoir assouvir ces besoins régulièrement.

Peu importe ce qu’on dit sur le bonheur, « le sexe n’a pas d’importance », etc., moi je te dis que tu seras beaucoup plus épanoui si tu accomplis ces deux besoins : le sexe et l’affection féminine. Surtout l’affection féminine d’ailleurs. Mais même le sexe. Plus tu seras à même d’assouvir ces besoins régulièrement, mieux ce sera.

Voilà.

Je te quitterai là-dessus ; je te souhaite une bonne journée.

C’était Chrys, ciao !


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