Les pouvoirs publics, désireux de voir les athlètes français remporter un maximum de médailles pour leur pays, si possible en or , mais aussi, faute de mieux en argent, voir en bronze , leur promettent, pour les encourager, des primes sur le budget du ministère de la Jeunesse et des Sport, soit pour les jeux de Pékin 50 000 euros pour l’or, 20 000 pour l’argent et 13 000 pour le bronze.
Leurs fédérations sportives respectives y ajoutent généralement un complément, plus ou moins importante et, pour les jeux de 2008, la fédération d’un sport d’ équipe, après avoir décidé de doubler le cas échéant la prime promise par l’Etat, à eu la sagesse de s’assurer, son équipe ayant remporté le tournoi.
Ce type d’assurance peut s’assimiler à la garantie « remontée publicitaire » par laquelle les assureurs garantissent pour une fois le coût d’un succès et non pas celles d’un désastre.