Mon fils, la douceur de ton visage
dessine déjà l'audace de l'aigle,
à la racine de ta vie.
Laisse-moi encore t'embrasser,
de ton amour si doux.
Reste encore Ya'akov que mes mains aveugles
abandonnent à Esaü le berger des champs.
Yehuda Amichaï
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