Carlene Thompson, Ne ferme pas les yeux

Par Gilles


Quatrième de couverture :

Quoi de plus effrayant qu’une vague de meurtres qui, du jour au lendemain, se met à décimer vos proches sans que vous sachiez qui sera la prochaine victime ? Quoi de plus sauvage qu’un inconnu qui frappe sans que l’on en comprenne la cause et qui laisse derrière lui en lettres de sang des phrases tirées de la Bible ? Port Ariel, niché sur les bords du lac Erié, avait tout jusque-là de la petite ville tranquille où tout le monde son connaît et où mourir assassiné semblait inconcevable. Le temps des rêves est terminé. La mort rôde désormais armées d’un long rasoir. Elle n’épargne personne. Elle peut être tout le monde. Votre voisin, votre père, l’amie de tous les jours…

Mon avis :

On frise le roman Harlequin. Et pourtant, je me suis laissé prendre au jeu. J’ai surtout été sensible dans ce roman à l’ambiance que l’auteur a réussi à créer autour de ses personnages et de l’intrigue. Dès que l’on pénètre dans les méandres de l’Amérique profonde je me fais avoir. L’intrigue en elle-même est relativement bien ficelée, j’avoue même ne pas avoir réussi à trouver le coupable. Ce que je reproche à l’auteur c’est que son histoire et ses personnages rassemblent un peu trop de clichés à mon goût, et, comme je le disais au début, il y a un peu trop d’eau de rose à mon goût…